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Lorsque les températures commencent à monter, une chose préoccupe tous les producteurs laitiers : le stress thermique. Les effets de la chaleur sur votre troupeau laitier peuvent avoir un impact significatif sur ses performances et sa santé, et en fin de compte sur la rentabilité de votre production.
La première étape pour aborder ce problème est de savoir où vous en êtes actuellement. Découvrez comment vous gérez le stress thermique dans votre exploitation grâce à notre évaluation de la stratégie de gestion du stress thermique.
Pour vous offrir une aide supplémentaire, en mettant à profit nos années d'expérience et d'expertise, nous avons publié une série de blogs axés sur les principaux risques liés au stress thermique dans votre exploitation laitière :
Le fléau du stress thermique incontrôlé est bien documenté, et les agriculteurs n'ont pas à chercher bien loin pour trouver des conseils sur la façon de traiter ce problème chez leurs animaux de production. Cependant, les vaches en activité ne sont pas les seules à ressentir la chaleur. Les veaux peuvent également être affectés par le stress thermique et, même si les effets de ce stress n'affectent pas immédiatement votre production et vos bénéfices, le fait de ne pas traiter le problème dès le plus jeune âge peut avoir des conséquences problématiques par la suite.
Quels sont donc les symptômes spécifiques du stress thermique chez les veaux, et que pouvez-vous faire pour aider à combattre ces effets ?
Bon nombre des indicateurs de stress thermique chez les veaux peuvent être facilement observés. Un comportement anormal général peut être une source d'inquiétude. Assurez-vous de garder l'œil ouvert sur des signes tels que:
Tous ces signes indiquent que le jeune animal est stressé. En y regardant de plus près, vous pouvez également observer que les veaux stressés par la chaleur ont :
Sans intervention, ces problèmes peuvent avoir un impact considérable sur la santé du jeune animal. Un stress thermique non traité chez les veaux entraîne une augmentation des cas de:
Que peut-on faire pour empêcher le stress thermique de devenir un problème pour vos veaux ? Tout d'abord, vous devez vous assurer que le logement que vous leur fournissez est optimisé pour les soulager de la chaleur. Souvent, les moyens traditionnels et courants de logement et de litière peuvent en fait exacerber le risque. Par exemple, de nombreux éleveurs utilisent des clapiers en plastique qui sont idéaux pour protéger le jeune animal des éléments. Mais, par temps chaud, ces abris absorbent et retiennent la chaleur, ce qui les rend plus inconfortables qu'un séjour à l'air libre. De même, de nombreux éleveurs utilisent de la paille comme litière, mais celle-ci retient également la chaleur et n'est pas souhaitable lorsque les températures sont élevées.
La clé de l'optimisation du logement est de privilégier une bonne circulation de l'air, ce qui aidera à garder les jeunes animaux au frais et à l'aise. Voici quelques ajustements bénéfiques à mettre en place:
Comme vous pouvez l'imaginer, l'un des aspects les plus essentiels de votre stratégie de gestion du stress thermique doit être l'hydratation. Comme indiqué plus haut, les veaux qui ressentent un stress thermique sont susceptibles d'être déshydratés et, par conséquent, d'augmenter leur consommation d'eau. Pour traiter efficacement ces problèmes, vous devez vous assurer que vos veaux ne sont jamais en manque ou à la recherche d'une boisson. Voici quelques mesures que vous pouvez appliquer dans votre ferme :
Des additifs incorporés dans l'alimentation peuvent apporter un soutien supplémentaire. Actigen® d'Alltech peut soutenir la fonction intestinale du veau pendant les périodes de stress accru, garantissant que le jeune animal tire le meilleur parti de son alimentation.
Grâce à notre évaluation de la stratégie de lutte contre le stress thermique, vous pouvez savoir dans quelle mesure vous luttez efficacement contre le stress thermique dans votre exploitation et quelles améliorations vous pouvez apporter. Évaluez votre stratégie ici.
Veaux
Tous les éleveurs laitiers savent bien que lorsque le temps commence à se réchauffer, le stress thermique n'est jamais très loin. Dans les climats chauds comme dans les climats tempérés, une hausse des températures peut faire une différence significative dans la productivité de votre troupeau laitier et dans l'argent qui rentre dans votre poche.
Pour commencer à préparer votre exploitation à relever les défis du stress thermique, remplissez notre évaluation de la stratégie de stress thermique.
Ensuite, jetez un coup d'œil aux informations et aux conseils que nous vous proposons. Dans une série de cinq blogs, nous décrivons les signes et les méthodes de gestion appropriées du stress thermique dans votre exploitation, en mettant l'accent sur les principales zones à risque :
Lorsqu'il s'agit de l'impact négatif du stress thermique sur votre exploitation, c'est sur vos vaches laitières que vous le constaterez le plus radicalement. S'il n'est pas maîtrisé, il peut non seulement entraîner une réduction de la production et des performances, mais aussi affecter la santé de vos animaux, entraînant finalement une baisse de la rentabilité de votre production.
Ainsi, en ce qui concerne le stress thermique chez les vaches laitières en lactation, quels sont les signes à surveiller et quelles actions pouvez-vous mettre en place pour traiter le problème rapidement et efficacement ?
Lorsque vos vaches laitières ressentent la chaleur, de nombreux signes peuvent être observés à l'œil nu. Si vous vous inquiétez de la présence d'un stress thermique dans votre troupeau, soyez attentif à ce qui suit:
La clé de la gestion du stress thermique chez vos vaches laitières est de leur fournir un environnement aussi confortable que possible. Les animaux doivent être logés dans un environnement qui leur offre tout ce dont ils ont besoin pour atténuer les effets du stress thermique.
L'hydratation est le premier défi à relever. Dans des circonstances normales, votre vache laitière boit 3 à 4 litres d'eau par litre de lait produit. Ainsi, pour une vache produisant 30 litres de lait, elle doit avoir accès à 90-120 litres d'eau par jour. Cependant, lorsqu'il fait très chaud, la consommation d'eau peut atteindre 250 litres. Pour répondre à ce besoin accru, il faut s'assurer :
Enfin, il est essentiel que les vaches disposent d'une aire de repos confortable. Veillez à fournir 10 m2 par tête, en augmentant à 12-14 m2 pour les vaches proches.
Un changement simple mais efficace que vous pouvez mettre en œuvre pour réduire le stress dû à la chaleur consiste à déplacer les heures d'alimentation vers des moments plus frais de la journée, ce qui permet aux vaches d'être à l'aise pendant qu'elles mangent.
En ce qui concerne la formulation de l'alimentation, il y a de nombreux facteurs à prendre en compte, notamment :
Alltech propose également des produits qui peuvent être ajoutés à l'alimentation de vos vaches laitières pour les aider à optimiser leurs performances. Yea-Sacc® aide à stabiliser l'environnement du rumen et à optimiser sa fonction, tandis qu'Optigen® peut augmenter l'efficacité de l'utilisation de l'azote.
En dehors de la traite des vaches, le stress thermique peut avoir un impact négatif sur de nombreux autres aspects de votre exploitation laitière et vous faire perdre du temps et de l'argent. Notre évaluation de la stratégie de lutte contre le stress thermique évalue votre approche actuelle et propose des améliorations pour lutter efficacement contre ce problème. Évaluez votre stratégie ici.
Le stress thermique dans une exploitation laitière a des effets considérables, qui ne se limitent pas aux animaux en production. L'impact négatif sur les performances du troupeau laitier, doit être vu dans son ensemble, avec les conséquences économiques que cela implique sur le troupeau.
Il existe de nombreux domaines dans chaque exploitation laitière où les effets du stress thermique peuvent être facilement identifiés et, avec la bonne gestion, traités efficacement. Ce blog fait partie d'une série qui examine ces zones à risque de stress thermique :
À bien des égards, l'impact du stress thermique sur une exploitation laitière est un problème de production immédiat, qui affecte la production de lait. Mais si l'on considère les vaches en transition, les implications pour l'avenir de l'exploitation sont tout aussi importantes. Une vache gestante souffrant de stress thermique ne sera pas en mesure de fournir l'alimentation dont le veau à naître a besoin, ce qui entraînera des problèmes à plus long terme.
Alors, quelle est la meilleure approche pour gérer les vaches en transition? À quoi devez-vous faire attention lorsque vous surveillez le stress thermique et comment pouvez-vous gérer au mieux la situation?
Lorsque vos vaches en transition souffrent de la chaleur, elles commencent à se comporter de manière anormale. Voici quelques signes à surveiller :
Outre ces signes plus évidents de stress pour vos animaux, de nombreux problèmes internes peuvent également survenir en raison des températures corporelles plus élevées. Ces problèmes se manifestent comme suit
Comme nous l'avons mentionné plus haut, ces problèmes ont pour conséquence que le veau à naître ne reçoit pas la nutrition dont il a besoin. Ainsi, les vaches en transition souffrant de stress thermique peuvent donner naissance à des veaux dont le poids de naissance est inférieur de 4,5 kg.
Une grande partie de la gestion du stress thermique chez vos vaches en transition consiste à leur fournir une aire de repos confortable où elles peuvent échapper à la chaleur. L'espace est le mot clé ici, car vos animaux doivent disposer de suffisamment d'espace à tout moment du jour et de la nuit. Pour s'en assurer:
La ventilation est également cruciale dans cette situation. Dans la mesure du possible, ouvrez le logement pour permettre la circulation de l'air et la ventilation naturelle. Des ventilateurs installés dans tout le bâtiment d'élevage peuvent également être très efficaces. Ces mesures permettent de réduire l'humidité, ce qui se traduit par une litière plus sèche et, par conséquent, par une diminution des risques de mammite et de dermatite digitale.
Il est également conseillé d'installer des douches et des ventilateurs de séchage dans les zones où les animaux se rassemblent régulièrement, comme les parcs d'attente. En faisant tremper et sécher les vaches par cycles, vous pouvez simuler les effets rafraîchissants de la sueur.
En ce qui concerne l'alimentation, un ajustement simple mais efficace consiste à nourrir les animaux aux moments les plus frais de la journée, principalement le soir et la nuit. La bonne formulation de l'alimentation est également essentielle pour optimiser les performances de votre vache de transition en cas de stress thermique. Il est conseillé de :
Il existe un certain nombre de produits Alltech qui peuvent également vous aider à tirer le meilleur parti de votre alimentation en période de stress thermique. L'utilisation de Yea-Sacc® aidera à stabiliser l'environnement du rumen et à en optimiser la fonction, Bioplex® peut offrir une meilleure disponibilité des minéraux et Sel-Plex® aide à soutenir l'immunité.
Si la gestion efficace du stress thermique chez vos vaches en transition est vitale pour les performances actuelles et futures de votre exploitation laitière, il existe de nombreux autres domaines dans lesquels il peut remettre en cause votre productivité. Pour savoir dans quelle mesure votre stratégie de gestion est solide et pour obtenir des conseils sur des améliorations faciles à mettre en œuvre, remplissez notre évaluation de la stratégie de lutte contre le stress thermique ici.
Maintaining the professionalism and skills required for the role, such as time management, attention to detail, handling confidential information and diligent handling of sensitive issues.
Be an enthusiastic worker with a go-getter attitude.
Qualification: Veterinarian preferred.
Experience: Minimum 3–4 years of experience in selling feed additives in the Dairy market.
Language fluency: English and Tamil mandatory.
Remuneration: Based on qualification, experience and individual talent.
If you meet these requirements, please submit your resume to careersindia@alltech.com
Building market position by locating, developing, defining, negotiating and closing business relationships.
Tous les producteurs laitiers savent que dès que le temps commence à se réchauffer, il faut commencer à mettre en place une stratégie de gestion du stress thermique. Sans un plan en place, vos vaches laitières risquent de voir leurs performances réduites et de connaître des problèmes de santé. Bien entendu, ces problèmes ont un impact négatif sur la rentabilité de votre production.
Heureusement, nous sommes là pour vous aider. Notre évaluation de la stratégie de gestion du stress thermique permettra d'évaluer votre situation actuelle et de définir les améliorations possibles pour votre exploitation. Aussi pour vous aider à tirer le meilleur parti de votre stratégie de gestion du stress thermique, nous avons compilé une série de blogs axés sur les cinq principaux domaines de risque de stress thermique dans chaque exploitation laitière :
La plupart des agriculteurs constatent l'impact du stress thermique sur leur production laitière et sur la baisse des performances de leurs vaches. Pour cette raison, il est facile de faire des recherches et de recueillir de nombreux conseils, bons et mauvais, sur la façon de combattre les effets du stress thermique chez vos animaux adultes. En revanche, il est moins facile de trouver des informations sur la façon dont le stress thermique affecte les génisses, mais cela ne signifie pas qu'elles sont moins importantes.
Les génisses sont un investissement dans l'avenir de l'exploitation laitière, et négliger leurs besoins aujourd'hui entraînera des problèmes pour votre production plus tard. Pour vous assurer que vous prenez le meilleur soin de vos jeunes animaux et que vous optimisez leur potentiel, voici quelques informations sur les signes de stress thermique chez les génisses et sur la meilleure façon d'aborder le problème.
Les premiers signes de stress thermique chez les génisses que vous êtes susceptible d'observer sont des changements de comportement. Vous remarquerez que les animaux restent debout plus longtemps et se rassemblent davantage. Cela peut être dû au fait que leur litière absorbe trop la chaleur et est donc inconfortable.
Le signe évident suivant est une baisse de la consommation de matière sèche, qui peut atteindre 9 %. L'effet immédiat de cette baisse peut être une réduction de la prise de poids allant jusqu'à 22 %, mais il y a aussi d'autres implications à long terme. Une diminution de la consommation de matière sèche a un impact sur la digestion globale de l'animal et, par conséquent, sur la croissance et le développement de la vache. Il en résulte des animaux de petite taille avec de petits pis qui produisent moins de lait.
Les autres signes notables de stress thermique sont les suivants
- Une réduction de l'activité de monte et du taux de conception.
- Déséquilibre acido-basique dans le sang, pouvant conduire à une acidose ruminale (métabolique et non ruminale).
- Risque accru d'alcalose respiratoire.
Il est possible d'apporter de nombreux petits ajustements au logement et à l'environnement des génisses laitières afin d'atténuer une partie du stress que les températures élevées peuvent causer. Vous devez vous assurer de:
- Fournir une ombre adéquate en utilisant des toiles ou un toit sur l'aire de repos.
- Optimiser la ventilation et le refroidissement.
- Assurer l'accès à l'ombre naturelle si les génisses sont à l'extérieur.
Il est également conseillé de gérer la taille des groupes. Le fait de loger les animaux en plus petits groupes peut contribuer à minimiser le stress et la concurrence au niveau de la zone d'alimentation.
L'alimentation de vos génisses joue un rôle important dans la gestion des effets du stress thermique. Comme nous l'avons mentionné plus haut, la digestion de vos animaux peut être affectée pendant cette période, il est donc essentiel d'optimiser leur alimentation afin qu'ils puissent toujours obtenir la teneur en nutriments et l'énergie dont ils ont besoin non seulement pour réduire les effets du stress thermique mais aussi pour continuer à grandir au rythme souhaité.
Lors de l'alimentation, vous devez:
Comme toujours, vous devez utiliser des fourrages de haute qualité et des ingrédients alimentaires digestibles. Veillez à :
Enfin, vous devez vous assurer de satisfaire les besoins des génisses en minéraux. Ceux-ci comprennent :
Pour tirer le meilleur parti de l'alimentation de vos génisses, vous pouvez faire appel à certains produits Alltech qui peuvent vous aider. Le Yea-Sacc® aide à stabiliser l'environnement du rumen et à optimiser sa fonction, tandis que l'alimentation avec Optigen® permet d'augmenter la densité d'azote alimentaire tout en maintenant des niveaux de NH3 dans le rumen et des niveaux d'ingestion cohérents.
Pour gérer efficacement le stress thermique dans votre exploitation laitière, qu'il s'agisse de vos génisses ou d'un autre secteur de votre production, vous devez disposer des meilleures connaissances et des meilleurs conseils.
Évaluez l'efficacité de votre gestion du stress thermique et découvrez ce que vous pourriez améliorer grâce à notre évaluation de la stratégie de lutte contre le stress thermique ici.
Die Futterkosten nehmen mit 70% den höchsten Teil der Betriebskosten ein. Somit ist es wichtig, die Rationskomponenten effizient einzusetzen und die Verschwendung von Futter zu minimieren. Darüber hinaus muss sichergestellt werden, dass die Tiere jeden Tag eine optimale Ration erhalten. Der KEENAN Controller und die InTouch Fütterungsberatung helfen hier das bestmögliche Ergebnis zu erzielen.
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Wir beraten Sie gern, rufen Sie uns an!
Alltech South Asia, part of Alltech, a top global animal health and nutrition company, announces its seventh annual Alltech Art Contest for schoolchildren.
The competition will accept paintings between August 20–October 5, 2021. The winning entries will be featured in the 2022 Alltech calendar and awarded cash prizes and certificates.
“Zero Hunger: Food for every breath” is the theme of this year’s art contest.
Up to 811 million people still go to bed on an empty stomach each night, and 2 billion people in the world do not have regular access to safe, nutritious and sufficient food (Source: UNSDG).
“We are happy to announce the launch of the annual Alltech Art Contest, which is focusing on a unique theme, “Zero Hunger,” said Dr. Aman Sayed, managing director, India and regional director of South Asia, Alltech. “Considering food as the most vital need for humans, making it affordable for everyone is essential for a sound living. Achieving Zero Hunger through access to safe and nutritious food needs a multidimensional approach and should be a shared commitment. We wish for this consciousness to bloom in young minds.”
Who can participate?
All students between 5–16 years of age can participate in the contest. The competition is open for children in India, Bangladesh, Sri Lanka and Nepal.
When?
The contest is open for submissions from August 20–October 5, 2021. The last date artwork will be accepted is October 5, 2021.
Online painting submission rules:
• The artwork must be on drawing paper of A4 size.
• Acceptable art tools include crayon, watercolor, oil paint, acrylic paint, poster colors, color pencils or pastels.
Submission:
The submission is online. Entrants will upload a scanned image of the artwork to the contest website by filling out all the relevant details requested on the page.
Check out the link below to participate and learn more about the Alltech Art Contest.
Website link: https://www.alltech.com/alltech-art-contest-2021
For more details, please contact your local Alltech sales manager or email alltechartcontest@alltech.com.
-Ends-
About Alltech:
Founded in 1980 by Irish entrepreneur and scientist Dr. Pearse Lyons, Alltech delivers smarter, more sustainable solutions for agriculture. Our products improve the health and performance of plants and animals, resulting in better nutrition for consumers and a decreased environmental impact.
We are a global leader in the animal health industry, producing additives, premix supplements, feed and complete feed. Strengthened by more than 40 years of scientific research, we carry forward a legacy of innovation and a unique culture that views challenges through an entrepreneurial lens.
Our more than 5,000 talented team members worldwide share our vision for a Planet of Plenty™. We believe agriculture has the greatest potential to shape the future of our planet, but it will take all of us working together, led by science, technology and a shared will to make a difference.
Alltech is a private, family-owned company, which allows us to adapt quickly to our customers’ needs and maintain focus on advanced innovation. Headquartered just outside of Lexington, Kentucky, USA, Alltech has a strong presence in all regions of the world. For more information, visit alltech.com, or join the conversation on Facebook, Twitter and LinkedIn.
¿Qué son las micotoxinas?
Las micotoxinas son producidas por los hongos filamentosos (o mohos) que están siempre presentes en la naturaleza y, bajo ciertas condiciones, tienen el potencial de contaminar casi todos los ingredientes utilizados en las dietas para las aves. Las micotoxinas no crecen únicamente por determinados mohos, lo que significa que distintas especies de hongos pueden generar la misma micotoxina. Además, encontramos algunos géneros de hongos que producen numerosos tipos de micotoxinas. Si bien la presencia dominante de una sola micotoxina puede perjudicar el bienestar animal, igual, bajos niveles de múltiples toxinas pueden provocar problemas serios en los animales.
¿Cuál es el impacto de las micotoxinas sobre las aves?
Las micotoxinas deterioran la integridad de las células y de los tejidos de las aves, lo que provoca un desequilibrio que perjudica varios sistemas fisiológicos. Esto produce un mal funcionamiento de los órganos; lo que conlleva con frecuencia a un deficiente desempeño del animal, una depresión del sistema inmune y una reducción del estado de salud. Además, la mayoría de las micotoxinas puede causar una toxicosis aguda en las aves, pero con mayor frecuencia una toxicosis crónica.
Dependiendo de la especie, del sexo, de la edad o del nivel y duración de la contaminación, las aves pueden mostrar determinados síntomas de una intoxicación por micotoxinas. Sin embargo, en la mayoría de los casos existen determinadas pérdidas de desempeño asociadas a una contaminación.
¿Cómo manejar las micotoxinas en la producción avícola?
Incluso sin indicios de la presencia de mohos, siempre existe la amenaza de una contaminación por micotoxinas. Por lo que un manejo efectivo y estrategias de prevención deben ser continuas y bien ejecutadas, ya que los niveles de contaminación y su impacto fluctúan con frecuencia. Siguiendo los principios del Análisis de Peligros y Puntos Críticos de Control (HACCP, por sus silgas en inglés), los programas de manejo de micotoxinas deben atender todos los aspectos del proceso de suministro de alimento balanceado, del alojamiento, de la gestión de la explotación avícola y del control del estado de salud de las aves.
Es muy importante detectar este riesgo con anticipación para mitigar los problemas relacionados con la inmunidad innata de las aves y así proteger la rentabilidad de la producción.
Por regla general, existen 10 signos principales de una contaminación por micotoxinas; que todo productor avícola debe conocer:
Los mohos pueden crecer antes o después de la cosecha; y contaminar así los ingredientes utilizados en las dietas para las aves. Esto significa que durante todo el itinerario del alimento balanceado (producción, transporte y distribución) estos ingredientes tienen que ser vigilados para detectar una posible contaminación.
Los casos con mohos visibles facilitan su detección y la mitigación del riesgo potencial de su presencia. Sin embargo, las micotoxinas son imperceptibles a simple vista, lo que significa que es necesario pruebas de análisis de micotoxinas, realizadas por expertos para conocer efectivamente el desafío. Para ayudarlo a identificar los diferentes tipos de mohos, Alltech ha elaborado una guía rápida que puede descargarla aquí.
Con frecuencia es difícil detectar los signos de las micotoxicosis en las aves, hasta que ya están provocando pérdidas en la producción (como una conversión alimenticia deprimida). Por lo que un registro de datos basados en mediciones detalladas y precisas, le ofrece a los avicultores una visión general de lo que está sucediendo con sus animales, permitiéndoles implementar una estrategia eficaz de prevención.
Basta con la presencia de los hongos en el alimento balanceado, para que estos puedan influir negativamente en su olor y/o sabor. Sin embargo, las micotoxinas son más perjudiciales al afectar directamente en el apetito de las aves. Esto puede provocar finalmente un rechazo total de los animales a ingerir las dietas o un picoteo persistente con el alimento.
Esto finalmente puede convertirse rápidamente en un problema serio de producción. Ya que las pérdidas importantes de desempeño –especialmente en la ganancia media diaria de peso– pueden deberse incluso a un pequeño descenso del consumo diario de alimento.
Las heces húmedas o la diarrea en los pollos son señales de una alerta temprana de un trastorno intestinal, lo que proporciona al avicultor información muy valiosa sobre la salud intestinal general de sus aves. Las camas húmedas también pueden representar un problema de seguridad alimentaria, ya que favorecen un entorno ideal para el crecimiento de bacterias.
La diarrea puede ser con frecuencia un aspecto complejo, ya que es un síntoma producido por diferentes problemas –que incluyen tanto a agentes patógenos como a no patógenos–. Por lo que el productor debe identificar la causa subyacente de la alteración y adoptar medidas correctoras, lo antes posible; para restablecer una buena salud intestinal en sus animales. Las micotoxinas pueden directamente deteriorar la integridad intestinal; lo que ocasiona una disminución en la digestión y en la absorción de los nutrientes de los alimentos, y un aumento de la permeabilidad de la barrera intestinal (lo que a su vez puede aumentar la humedad de la cama).
Además de los efectos directos de determinadas micotoxinas, el alimento balanceado contaminado por múltiples micotoxinas está relacionado con descensos inesperados en los parámetros de rendimiento reproductivo. Las micotoxicosis, sobre todo, son una amenaza importante para las unidades de producción comercial de aves; ya que cualquier reducción de la fertilidad de las aves o de la eclosionabilidad de los huevos, puede ser muy costosa.
Encontramos una incidencia cada vez mayor de enfermedades producidas por patógenos (como la Salmonella, la enteritis necrótica, entre otros); lo que va a tener un impacto sobre la rentabilidad de la producción avícola –al reducir la productividad y aumentar los gastos por tratamientos veterinarios–.
Muchos avicultores con frecuencia no son conscientes del impacto directo de las micotoxinas sobre la salud de su parvada. Esto a pesar de que generalmente relacionamos a las micotoxinas en la producción avícola con signos específicos como una menor ingesta de alimento, lesiones orales o una disminución del desempeño animal.
Además de estos signos más frecuentes, se presentan factores como un bajo éxito de los programas de vacunación, un aumento de los brotes de infecciones producidos por patógenos o un aumento de los gastos médicos; lo que puede indicar la necesidad de un análisis más detallado de una contaminación por micotoxinas.
Las micotoxicosis en las gallinas están relacionadas con una menor producción de huevos, muy probablemente porque provocan una inhibición de la síntesis de proteínas. Así, una menor síntesis de albúmina se debe a la degeneración del tejido hepático provocado por una exposición a las micotoxinas.
El cascarón es esencial para proteger la progenie. Por lo que hay que tener en cuenta que las cáscaras delgadas y frágiles pueden aumentar la mortalidad embrionaria, reducir la ganancia de peso del embrión y disminuir la eclosionabilidad.
La calidad del cascarón depende del metabolismo tanto del calcio como de la vitamina D3 de las gallinas. Y la biodisponibilidad de estos elementos depende de la integridad intestinal y de la producción de enzimas y de transportadores, que intervienen en el metabolismo del alimento balanceado. Todos estos procesos pueden verse perjudicados por las micotoxinas.
La debilidad de las patas tiene un origen multifactorial y puede estar influenciada por el manejo, la genética, el medio ambiente, la nutrición y las micotoxinas. Varias micotoxinas son conocidas por afectar negativamente el metabolismo óseo –lo que provoca la debilidad de las patas–.
Las lesiones orales son detectadas con mayor frecuencia en las gallinas ponedoras y en las reproductoras, las cuales pueden ser producidas por diferentes agentes etiológicos. Algunos grupos de micotoxinas –como los tricotecenos de tipo A– pueden producir lesiones epiteliales y aumentar la velocidad de la renovación de las células epiteliales. De igual manera, los veterinarios de campo con frecuencia informan erosiones o lesiones en la mucosa que reviste la molleja de los pollos de engorde (lo que es provocado por el ácido ciclopiazónico que es producido por el hongo A. flavus).
Si bien las micotoxinas son imperceptibles y difíciles de detectar, sus efectos casi siempre se manifiestan a través de cambios en los parámetros del desempeño animal (tanto los más importantes como los más pequeños). Los impactos negativos sobre la homogeneidad de los lotes de aves de la misma edad, sobre el consumo diario de alimento, sobre las tasas de crecimiento y sobre la eficiencia alimenticia; pueden ocasionar –en su conjunto– grandes pérdidas económicas.
Los altos niveles de contaminación también pueden provocar cambios repentinos y graves: como un aumento de la mortalidad.
Como ya se mencionó, no existe una solución que elimine por completo a las micotoxinas presentes en su explotación avícola. Sin embargo, es posible mitigar sus efectos negativos al adoptar una estrategia de manejo adecuada.
Alltech proporciona una serie de modernos servicios de detección; que pueden ayudarlo a identificar y abordar esta amenaza que se oculta en su alimento balanceado.
Los avicultores que estén buscando una tecnología para identificar las micotoxinas escondidas en sus explotaciones avícolas, pueden confiar en Alltech® RAPIREAD™. Es una innovación ideal para detectar hasta siete de las principales micotoxinas presentes en los ingredientes individuales del alimento balanceado. Alltech® RAPIREAD™ comprende tanto herramientas en línea como el dispositivo de análisis integrado Raptor® de Neogen. Esta plataforma de pruebas rápidas ofrece análisis detallados, junto con recomendaciones prácticas en tiempo real; que están respaldadas por datos confiables.
Para los productores que quieren tener una visión general de las micotoxinas que se esconden en el alimento balanceado, la prueba de análisis Alltech 37+® puede mostrarles las amenazas ocultas en las dietas de sus animales. Como base del programa de Manejo de Micotoxinas de Alltech, este servicio realizado en un laboratorio de análisis de la compañía, analiza las muestras de las raciones para identificar hasta 54 tipos de micotoxinas.
Después de identificar a las micotoxinas que están contaminando sus materias primas o el alimento balanceado de sus aves, el siguiente paso consiste en mitigar sus efectos adversos a través de la inclusión de un adsorbente de micotoxinas –como Mycosorb A+® de Alltech– en la dieta de sus animales. Mycosorb A+® reduce la absorción de las micotoxinas en las aves, contrarrestando así los riesgos para la salud y el desempeño animal; que están asociados con el daño ocasionado por las micotoxinas.
Los problemas relacionados con las micotoxinas no siempre son fáciles de identificar en las aves, sin embargo, existen algunos signos clave que nos pueden alertar.
Regístrese para descargar el póster de un protocolo que nuestros expertos en micotoxinas han elaborado para guiarlo en la revisión diaria de su producción avicola, en busca de signos de potenciales problemas provocados por las micotoxinas.
To better understand the seemingly daunting task of achieving sustainability in the equine industry, we can learn from others who have already successfully implemented some environmentally friendly equine management practices. Two Horse Ranch, a five-acre horse property in the busy Seattle suburb of Redmond, Washington — home of Microsoft, Nintendo and 65,000 residents — has implemented several sustainable day-to-day barn management practices in an effort to be a more environmentally conscious horse farm.
On farms with small acreage, everything in the horse farm management system needs to fit together neatly and efficiently — especially with respect to the farm’s neighbors and the ecosystem. Join us on this horse property tour as we look at the land management practices these horse owners are using to reduce mud, manage manure, increase pasture productivity and operate in a way that makes their farm as horse-healthy and eco-friendly as possible.
1. Streamside riparian area. Two Horse Ranch is located on the salmon-spawning stream of Bear Creek. As a result, landowners Rita and Mark Hampson have chosen not to use herbicides or pesticides; chemical runoff, as well as runoff from mismanaged manure piles or muddy paddocks, can adversely affect water quality as well as plant and animal life in the corridor along the stream, called a “riparian area.” Instead, Two Horse Ranch is carefully managed to keep horses well away from the stream banks. Additionally, native trees and shrubs — nature's biocontrol for filtering out dirty runoff — have been planted all along the stream corridor. Vegetation also helps prevent soil erosion and provides food and shelter for fish and other aquatic life. The overhead canopy of trees and tall shrubs shades the water, keeping it cool in the summer, which fish like. Large, woody debris in the stream slows the current, provides habitat diversity and shelters aquatic creatures. These landowners enjoy looking at the beautiful native plants along the water, as well as beavers, river otters, eagles, ospreys, cormorants, herons, mergansers, the occasional deer, bobcats, bears and, of course, rabbits. The center-stage stars of the show are the wild salmon, which return in the fall and migrate upstream to spawn.
2. Paddocks. Using a confinement area as the horses’ outdoor living quarters keeps horses from over-using and subsequently destroying pastures. Paddocks can be designed to be mud-free and still contain “enrichment,” or stimulating opportunities for these highly intelligent animals, helping them avoid getting bored or developing bad habits like wood-chewing or pacing. Rita and Mark have designed large, mud-free dry-lots for their horses that are situated on a portion of their property with well-draining soils. Removing manure daily reduces the potential for mud, and they also use gravel footing (5/8-inch crushed rock mixed with pea gravel) in high-traffic areas to prevent erosion and mud build-up. Occasionally, they also add a pile of sand for the horses to roll and play in as well. They have re-shaped the slope slightly to allow for improved drainage and to reduce the likelihood of water pooling. Surface water runoff is directed toward grassy areas, which provide biofiltration for any potential sediment or nutrients (from manure or urine) so that dirty runoff never reaches Bear Creek.
3. Protecting drinking water. Like many rural landowners, the Hampsons have their own well and septic system. They know that taking care of both systems saves them money in the long run, and it’s also important for water quality, as a failed septic system can cause waste to leak into the groundwater or streams like Bear Creek. Their septic system is located well away from confinement areas and from the creek. The well head for this property is protected with a small well house (pictured here) and is located about 25 feet from the paddock. Daily manure pick-up and efficient drainage of the paddock are essential to protecting the well. Ideally, the well head would be further away from any livestock activity, but small-acreage horse farm owners must often work within their unique constraints to puzzle things together as best possible.
4. Tree buffers. Along the perimeter of the paddock are native trees, fenced off from the horses, that act as a visual buffer for neighbors (to the right) and as a shelter for birds and small wildlife. Native plants work best for wildlife habitats, as they have evolved over thousands of years in a particular region to provide habitat for a variety of native wildlife species, such as songbirds and butterflies.
5. Shelters. These individual 14’ x 14’ shelters were designed to provide horses with protection from extreme weather conditions while still offering excellent ventilation and a clean, dry place to feed. The floors are made of rubber stall mats placed over six inches of packed, level gravel. The shelters’ openness allows the horses to see each other and feel comfortable despite being further apart.
6. Chore efficiency. Keeping the proper tools of the trade on hand is important on any horse property — especially on those with small acreage. Keep chore time equipment stored in a handy spot that offers some weather protection. A pass-through provides quick access into and out of paddocks for chores or feeding.
7. Mud control. Both of the shelters on this farm have rain gutters and downspouts, which drain into a simple underground drain field. Diverting this water away from the horses’ living areas reduces mud, helps keep the rainwater clean and recharges the ground water.
8. Urine management. Odor control is accomplished with help from a “potty spot” of wood chips. For horses that tend to urinate in the same location, wood chips made from woods like cedar or fir — evergreens resist decomposition longer than deciduous trees; be sure to choose something nontoxic — bind with the nitrogen in the urine to help reduce odors. Once a year, the Hampsons refresh this area with more chips, and the old chips are composted.
9. Daily manure management. Manure management is done in yard-waste composting barrels, a type of barrel that is often used for small-scale backyard composting. Eight barrels are used for the two horses, with each barrel holding about four days’ worth of manure. Manure “cooks” in the barrels, generating heat of up to 160 degrees, for about eight days. The temperature slowly drops to about 60 degrees over the course of a few weeks. When more space is needed, the oldest barrel contents are cleared out and stockpiled under tarps to “cure.” The finished compost is spread during the growing season. Compost is a rich soil amendment that improves the productivity of pastures, making grasses healthier and better able to hold moisture. Covering compost piles and/or manure storage areas helps prevent rainwater from leaching nitrogen from the manure or compost and seeping into waterways.
10. Outdoor wash rack. This three-season outdoor wash rack features a geo-grid product as its base to stabilize the gravel footing, allow for better drainage and reduce mud. Three inches of 5/8-inch crushed rock is used under the geo-grid and two inches of pea gravel is placed on top of the grid for better footing. Horses are tied to one of the posts for bath time or to tack up.
11. Pasture. Approximately two acres of pasture are managed via rotational grazing and are only used during the growing season (i.e., from late spring through the fall). To prevent overgrazing and compaction, grasses are never grazed below around three to four inches and horses are never put on soggy soils. A minimum of three inches of leafy grass is needed for rapid regrowth and the biofiltration of nutrients, sediments and chemicals. During the growing season, the Hampsons’ two horses get 25–30% of their feed from the pasture, grazing two to three hours per day. As grass growth slows in the late fall, pasture time doesn't provide a lot of nutrition but is great for giving horses time to just "be horses,” which is imperative for maintaining their health. Improved horse pasture production decreases feed bills — and may even help you avoid vet bills, since there’s little room for toxic weeds in a healthy pasture.
12. Spreading compost. A small, ground-driven manure spreader is used to spread compost during the growing season, from late spring through early fall. Composting manure reduces parasite re-infestation, as well as flies, weeds and odors — and it serves as a free, easy and valuable soil amendment. During the growing season, composted manure is often spread directly from the composting bins, thereby minimizing any handling and storage requirements.
13. Equipment. A variety of small farm equipment makes land management possible on small acreage, including a pasture mower used with a tractor and PTO (power takeoff), a walk-behind string mower for trimming edges or mowing slopes, and a tine harrow for dragging arenas or spreading manure in pastures.
14. Arena. When the Hampsons can’t get out on the trails due to inclement weather or time constraints, this 70’ x 110’ arena is useful for riding or just to exercise their horses. This arena was constructed on a base of native soil mixed with an inexpensive sand/gravel pit-run material that was leveled and compacted. That mixture was subsequently topped with an inch and a half of granulithic sand.
Reducing mud, properly managing manure and making their pastures more productive keeps the Hampsons’ suburban horse property not only visually pleasing but healthier for their horses and chore-efficient for them as owners, all while minimizing the environmental impact of their horses and protecting the local ecosystem.
Follow along on this horse property tour as we look at the land management practices these horse owners are using to reduce mud, manage manure, increase pasture productivity, and operate their place in as horse-healthy and eco-friendly manner as possible.
With the changing global climate, many people are becoming more aware of how they impact the environment on a day-to-day basis. And the same goes for horse owners, as more and more equestrians explore sustainable horse farm management practices.
While achieving sustainability in the equine industry may seem daunting, the good news is that there are many avenues for us to explore, and each one makes a difference!
If your horse is boarded at a facility, you may not have control over some common environmental pitfalls, such as manure management or preventing overgrazing of horse pastures. However, almost every horse owner has some say in their horses’ nutrition, and luckily, with a few easy changes, your horses’ diet can become more environmentally friendly.
Since they only make up around 2% of a horse’s diet, minerals are often underestimated — but they are actually responsible for hundreds of thousands of functions within the horse’s body, from the development of joint cartilage to maintaining healthy hair and hoof quality.
In the equine digestive system, the bulk of the vitamins and minerals included in the diet are absorbed in the small intestine and taken into the bloodstream to be distributed throughout the body for use.
Macrominerals or major minerals, such as calcium, phosphorus, magnesium, sodium, potassium, chloride and sulfur are required in larger amounts than the microminerals or trace minerals, which include copper, zinc, manganese, iron, selenium, cobalt and more. But while the requirements for trace minerals might be smaller, they are majorly important for horse health.
While hay and pasture grass contain vitamins and minerals in varying levels, depending on the soil quality, processing, region, etc., horses often require additional supplementation for optimal health, which is why grains and other supplements are generally formulated with minerals.
Interestingly enough, horses are unable to store large amounts of excess minerals in their bodies, and research has shown that exceeding 100% of their mineral requirements results in higher mineral excretion (i.e., mineral-rich manure), which has important environmental implications.
In her presentation at the Alltech ONE Ideas Conference in June, Dr. Mieke Holder explained what happens when excess minerals are fed to horses. In a brief nutshell:
The other piece of the mineral puzzle lies in fecal microbial organisms. Recent research from Dr. Holder’s lab has shown that the bacteria in the feces accumulate some of the minerals that are excreted. Providing minerals in a form that encourages accretion, or “feeding,” by fecal bacteria should continue to be explored, as that appears to decrease the amount of minerals leaching into soil and water.
To bring it all together, Dr. Holder’s research has shown that providing increased levels of trace minerals in horses’ diets also increases the levels of phosphorus that leach from those diets. Given that phosphorus is an element of great environmental concern, it is crucial that minerals are not only fed at the appropriate levels but in bioavailable forms as well.
Dr. Holder defines organic minerals as minerals that are bound to a ligand carrier, such as a protein or amino acid chelating agent. Several examples of organic trace minerals are those offered by Alltech as Bioplex® (copper, zinc, manganese, cobalt and iron) and Sel-Plex® (organic selenium). In contrast, inorganic minerals are complexed with a compound, such as a carbonate, chloride, sulfate or oxide.
While research over the years has shown varied results in terms of the differences between organic and inorganic minerals in horses’ diets, several compelling studies have shown that organic minerals are absorbed at higher levels and are more readily usable by the horse’s body than their inorganic counterparts. When organic minerals are absorbed at higher levels, that also means that fewer minerals are excreted, which can help protect the environment.
For example, glutathione peroxidase, a selenium-dependent antioxidant enzyme, showed increased activity after exercise in horses fed Sel-Plex® versus horses who received inorganic selenium (in the form of sodium selenite).
Other recent research has shown that supplementation with organic trace minerals can help improve joint cartilage indicators and antioxidant activity in growing horses.
Given that we want our horses to be around for many more years than the typical production animal, the fact that there is evidence indicating that organic trace mineral supplementation can help maintain horses’ health, development and performance is notable.
Thanks to Dr. Holder’s presentation, we know for sure that:
To learn more about the benefits of equine trace mineral nutrition, watch Dr. Holder’s entire presentation at the 2021 Alltech ONE Ideas Conference.
If you are interested in providing your horse with a superior nutrition program while still protecting the environment, Alltech’s Bioplex® trace minerals are a great place to start. Email equine@alltech.com with any questions.
Les éleveurs laitiers ne seront pas surpris d'apprendre que lorsque l'été arrive et que les températures commencent à grimper, leurs vaches peuvent commencer à ressentir les effets du stress thermique. C'est un problème auquel sont confrontées les exploitations laitières du monde entier, même celles situées dans des climats plus tempérés. S'il n'est pas maîtrisé, le stress thermique aura un impact considérable sur les performances et la rentabilité de votre troupeau.
La première étape pour relever ce défi est d'évaluer votre approche actuelle. Découvrez l'efficacité de votre gestion du stress thermique des vaches laitières grâce à notre évaluation de la stratégie de lutte contre le stress thermique.
En plus, c'est dans cette optique que nous avons élaboré une série de blogs portant sur les cinq principaux risques de stress thermique dans les exploitations laitières:
Lors de la mise en place d'une stratégie efficace de gestion du stress thermique, il est essentiel que le producteur laitier prenne en compte tous les aspects de son exploitation qui peuvent être affectés par la hausse des températures. Cela signifie qu'il ne faut pas seulement s'intéresser aux animaux, mais aussi à leur alimentation. La chaleur peut altérer la qualité des aliments et du fourrage, les rendant moins nutritifs, voire nocifs pour l'animal, ce qui rend impératif une bonne gestion de la récolte, du stockage et de l'ensilage.
Mais quels sont les signes à surveiller, et que pouvez-vous faire pour vous assurer que vous fournissez la meilleure qualité d'aliments et de fourrage à votre troupeau en cette période de stress?
Lorsqu'il s'agit d'évaluer les aliments et le fourrage pour y déceler des signes de stress thermique, vous devez observer ces ressources dans deux domaines : dans le champ et dans l'étable.
Dans le champ, les plantes stressées par la chaleur et la sécheresse réalisent la rapidité avec laquelle elles peuvent mourir dans ces conditions. C'est pourquoi elles augmentent la lignification afin de produire plus rapidement une tête de graine. Ce processus réduit la digestibilité de la plante et, par conséquent, l'énergie qu'un animal peut en tirer.
Lorsqu'on essaie d'identifier un stress thermique chez les plantes, les indicateurs peuvent être les suivants :
Si une récolte au bon moment peut vous aider à éviter ces problèmes, le stress thermique peut néanmoins affecter les aliments et les fourrages stockés. Même au cours des différentes étapes des processus de récolte et d'ensilage, ces matières peuvent être soumises à des températures susceptibles de les endommager.
Comme dans le champ, des températures plus élevées dans la serre entraînent une augmentation du pourcentage de la matière sèche et des fibres, ce qui entraîne des problèmes tels que:
Voici quelques signes à surveiller :
Il existe de nombreuses mesures que vous pouvez prendre pour optimiser la croissance et le rendement de votre fourrage lorsque vous êtes soumis à un stress thermique potentiel. Pour l'essentiel, il est impératif de bien choisir le moment de la récolte, par exemple :
D'autres facteurs sont à prendre en considération, notamment la nécessité de s'assurer que votre sol contient tous les nutriments nécessaires, car un sol sain améliore la tolérance à la sécheresse, et l'utilisation d'inoculants homofermentaires ou d'additifs chimiques dans la serre. Ceux-ci aideront à contrer les problèmes d'altération aérobie. Cependant, n'utilisez pas L. buchneri ou d'autres inoculants de bactéries lactiques hétérofermentaires.
En plus de la gestion de la récolte et du stockage, il y a quelques mesures que vous pouvez prendre pour nourrir les animaux afin de tirer le meilleur parti de votre ensilage et d'éviter les problèmes de stress thermique. Ces mesures sont les suivantes
- Nourrir le matin et le soir, lorsque les températures sont plus basses.
- Donner de la nourriture 8 à 10 fois par jour, en veillant à ce que votre troupeau y ait accès régulièrement.
- Jeter les restes d'aliments chaque jour, afin de réduire le risque que vos vaches mangent des aliments moisis.
Alltech offre également une gamme de produits qui peuvent aider à combattre les problèmes qui surviennent dans les aliments et le fourrage en raison de la hausse des températures. Mycosorb® peut être ajouté à l'alimentation comme liant des mycotoxines, réduisant ainsi l'absorption des mycotoxines par l'animal et les facteurs de risque associés aux effets néfastes des mycotoxines sur sa santé. Mold-Zap® peut également être utilisé, car il est conçu pour inhiber la croissance des moisissures, pour conserver la teneur en MS et en nutriments, pour réduire la détérioration supérieure, et il est également conçu pour réduire la détérioration (perte de MS).
L'optimisation de votre stratégie en matière de stress thermique est cruciale pour lutter contre les effets de la hausse des températures sur vos vaches laitières. Il existe de nombreuses zones de risque à prendre en compte, l'alimentation et le fourrage n'en étant qu'une. Remplissez ici notre évaluation de la stratégie de lutte contre le stress thermique pour savoir dans quelle mesure vous luttez efficacement contre le stress thermique dans votre exploitation et quelles améliorations vous pouvez apporter.
Alimentation et fourrages