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[LEXINGTON, KY.] – Un an après s’être engagé auprès des Nations Unies en faveur des objectifs de développement durable, Alltech publie son rapport de durabilité 2020.
En plus de refléter la vision d'Alltech pour une planète d’abondance, le rapport réaffirme l'alignement de l'entreprise avec un réseau mondial croissant d'organisations qui sont unies par leur mission de construire un avenir plus durable.
«En tant qu'entreprise mondiale couvrant l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement alimentaire, nous sommes particulièrement bien placés pour avoir un impact positif sur un large éventail de secteurs», a déclaré le Dr Mark Lyons, directeur d'Alltech. « Ce Pacte mondial a contribué à donner une direction, une valeur et un alignement à nos projets existants mais aussi à inspirer de nouveaux projets. Ce rapport appelle aussi nos clients et partenaires à nous rejoindre dans un effort de collaboration pour adopter de nouvelles technologies, améliorer les pratiques commerciales et adopter l'innovation afin de créer un monde d'abondance. »
Dans le cadre de son engagement envers les Nations Unies, signé le 12 juillet 2019, Alltech a annoncé se concentrer spécifiquement sur neuf des 17 objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies sur lesquels la société peut avoir le plus grand impact en raison de son cœur métier. Les ODD sélectionnés incluent :
Le rapport de développement durable 2020 d'Alltech décrit les principaux efforts qui ont un impact sur ces ODD choisis, y compris la validation de nos solutions nutritionnelles par le Carbon Trust, les initiatives d'éducation, le soutien aux femmes dans l'agriculture et l'application de 40 ans de recherche en nutrition animale pour faire progresser la santé humaine.
Le rapport réaffirme également l’attachement d’Alltech au Pacte mondial des Nations Unies (UNGC). L'UNGC fournit aux organisations un système de valeurs et une approche basée sur des principes pour mener leurs activités. Alltech s'efforce de fonctionner d'une manière qui répond aux responsabilités fondamentales dans les domaines des droits de l'homme, du travail, de l'environnement et de la lutte contre la corruption. L'entreprise continue d'incorporer les dix principes du Pacte mondial des Nations Unies dans ses stratégies, politiques et procédures.
Parallèlement à la signature du Pacte mondial des Nations Unies, Alltech s'est également engagé dans l'initiative Science Based Targets, qui est conçue pour aider les entreprises à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et à partager leurs progrès grâce à une documentation et des rapports transparents. Alltech a entamé la collecte de données pour la première année, puis des objectifs seront fixés pour évaluer son travail afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre et la consommation d'énergie et d'eau.
En décembre 2019, Alltech a eu l'honneur extraordinaire d'accueillir le Conseil de sécurité des Nations Unies à son siège à Nicholasville, Kentucky. L'ambassadeur des États-Unis, Kelly Craft, originaire du Kentucky, a choisi Alltech pour accueillir leur réunion, en partie en raison de l'engagement de l'entreprise envers le Pacte mondial des Nations Unies et de sa concentration sur neuf objectifs de développement durable. Les 13 membres présents représentaient les États-Unis, la Chine, la Pologne, le Pérou, la Russie, la République dominicaine, l'Indonésie, le Vietnam, la Belgique, le Koweït, la Guinée équatoriale, la Tunisie et Saint-Vincent-et-les Grenadines.
L'intérêt enthousiaste du Conseil des Nations Unies pour Planet of Plenty et ses engagements en matière d'ODD représentent une opportunité importante pour Alltech de mener des changements positifs au sein de l'industrie agroalimentaire.
«Nous sommes ravis d'atteindre cette étape dans un voyage qui a commencé en 1980», a déclaré Deirdre Lyons, cofondatrice et directrice de l'image et du design d'entreprise chez Alltech. «Notre mission orientée vers le bien-être des animaux, des consommateurs et de l'environnement - et pour faire une différence dans le monde qui nous entoure - dispose d'un nouveau cadre de réussite qui nous guidera vers l'avenir.»
Cliquez ici pour lire l'intégralité du rapport de développement durable Alltech 2020
Dans le cadre de l'expérience virtuelle Alltech ONE, Robert Walker, responsable de la croissance européenne d'Alltech, a été rejoint par Patrick Walsh, fondateur et PDG de la communauté d'entrepreneurs technologiques Dogpatch Labs, et Nicky Deasy, associé directeur de l'accélérateur technologique agroalimentaire mondial The Yield Lab, pour nous en apprendre plus.
Le rapport Alltech 2020 ag-tech insights, développé par Dogpatch, a examiné plus de 1600 startups dans 35 secteurs différents. Vous trouverez ci-dessous quelques-uns des principaux points à retenir:
Walsh a offert son point de vue: «L'univers des startups agro-technologiques continue de croître, avec plus d'argent affluant dans plus de pays - et plus de startups dans plus de pays - que jamais auparavant», a-t-il déclaré. «En 2019, les protéines alternatives étaient la destination de la plupart de cet argent. Près d'un dollar sur quatre, je pense, est allé dans une société de protéines alternative, qu'elle soit à base de plantes, d'insectes ou de cellules. Et à mesure que les investisseurs deviennent plus agressifs dans ce domaine, la taille des transactions devient plus grande que nous ne l'avons jamais vu dans la technologie agroalimentaire.
«Impossible Foods a conclu un accord de 500 millions de dollars», a-t-il poursuivi. «ils ont levé plus de 1 milliard de dollars de financement maintenant, ce qui en fait une entreprise à 2 à 3 milliards de dollars au total. Nous avons vu une entreprise de protéines d'insectes collecter, un total de 172 milliards de dollars, mais ce qui nous étonne le plus, c'est ce qui se passe au tout début. Et ce qui m'intéresse vraiment, c'est qu'il y a eu deux fois plus d'investissements de démarrage (le nombre de transactions conclues en 2019) que l'année précédente.
«Donc, ce que cela signifie, c'est qu'il y a beaucoup plus de gens qui s'intéressent aux startups dans différents secteurs, dans différentes parties de l'agriculture, et misent dessus», a déclaré Walsh. Et c'est parce que nous commençons à voir beaucoup de technologies évoluer à une vitesse exponentielle et devenir plus rentables et plus puissantes, en termes de capacités, et commencer à atteindre le bon stade et à ouvrir de nouvelles possibilités. "
Deasy a poursuivi en partageant ce qu'elle a vu dans les fonds d’investissements à l'heure actuelle: «Les données de l'année dernière indiquent que le financement de démarrage en Europe était en hausse de 70% dans les technologies agricoles par rapport à l'année précédente. Nous nous attendons à ce que cette tendance s'accélère au cours des prochaines années. Nous avons maintenant une stratégie de “la ferme à l’étable” de l'UE qui va offrir une incitation de technologie agricole avec une technologie durable - afin d'améliorer l'empreinte carbone de l'industrie.
«Donc, tout cela est le moteur d'un écosystème très, très dynamique dans le paysage européen des technologies agricoles en phase de développement», a poursuivi Deasy. «Lorsque nous avons commencé à investir en 2017, la plupart des investisseurs n'avaient jamais entendu parler de la technologie agricole, ce qui est assez extraordinaire si l'on considère que l'industrie sous-jacente - l'industrie agroalimentaire, dans le monde - vaut environ 8 billions de dollars par an.
«Ce secteur en est encore à ses balbutiements parce que les industries sous-jacentes qu'il essaie de soutenir sont énormes, et il y a beaucoup de possibilités d'améliorer notre façon de faire les choses», a-t-elle conclu. «La technologie aidera à créer une industrie meilleure, plus forte et plus rentable pour tous ses participants, y compris les producteurs primaires.»
La COVID-19 stimulera les startups d'automatisation qui vendront plus de produits conçus pour résoudre les problèmes associés au manque de main-d'œuvre et à la distanciation sociale. Le commerce électronique et les chaînes d'approvisionnement deviendront moins un avantage et plus une nécessité. Nous verrons des startups économiques qui peuvent aider les entreprises à rester en vie grâce à leurs services.
Nous assisterons également à l'accélération de la chaîne d'approvisionnement et à l'innovation en matière d'automatisation. Les gouvernements qui ralentissaient les approbations poussent désormais les entreprises à accélérer l'innovation.
"Il était clair que, lorsque la COVID a frappé, les conversations ont été bloquées". «Les évaluations de leurs entreprises ont commencé à être réexaminées et réévaluées. Et beaucoup d’investisseurs disaient: «Nous sommes toujours ouverts aux affaires», mais, en réalité, ils étaient beaucoup plus concentrés sur la protection de leurs investissements existants plutôt que sur de nouveaux.
«Mais alors que nous traversons cette crise, nous commençons à voir que l'argent circule - pour la plupart - et que les startups reçoivent vraiment de nouvelles demandes», a-t-il déclaré. «La plupart du temps, la proposition d'une startup était axée sur la réduction des coûts ou l'augmentation des revenus. Les pitch decks ont commencé à changer beaucoup pour dire: «Nous pouvons vous rendre, vous et votre nourriture, plus sûrs.»
«Les startups sont agiles», a conclu Walsh. «Elles peuvent s'adapter rapidement à ce nouveau paradigme et répondre assez rapidement aux nouveaux besoins de l'industrie. Je me sentirais assez confiant en disant que la COVID stimulera réellement l'innovation. Après un choc initial et un sentiment d'incertitude quant à ce qui va se passer à court terme, vous allez voir plus d'innovation affluer maintenant au fur et à mesure que nous progressons dans l’année"
Pour voir la présentation complète et en savoir plus sur les prévisions pour l'avenir de l'ag-tech, obtenez votre billet virtuel pour l'expérience virtuelle Alltech ONE.
Accédez au contenu à la demande jusqu'en mai 2021, avec du nouveau contenu ajouté tous les mois. Visitez one.alltech.com pour plus d'informations.
Lorsqu'il s'agit de mycotoxines, la plupart des gens connaissent les types les plus connus, tels que l'aflatoxine, le désoxynivalénol (DON) et la zéaralénone (ZEN). Cependant, à mesure que le niveau de recherche augmente et que les méthodes de détection deviennent plus avancées, nous en apprenons de plus en plus sur les formes moins connues de mycotoxines, communément appelées "mycotoxines émergentes''. Elles sont actuellement définies comme des «mycotoxines qui ne sont ni analysées en routine, ni réglementées par la loi». Cependant, tout comme leurs homologues plus connus, les producteurs doivent être vigilants, car ces menaces cachées ont tout autant de potentiel pour causer des problèmes au niveau de l'immunité, la durabilité agroalimentaire et de la rentabilité globale de la production.
Depuis leur lancement en 2012, les laboratoires de test de mycotoxines Alltech 37 + ® ajoutent continuellement de nouvelles mycotoxines au panel de test, ce qui porte le nombre total de mycotoxines détectables à 54. Avec cette capacité analytique avancée, la contamination par les mycotoxine émergentes est de mieux en mieux détectée. Cela a été clairement mis en évidence dans les résultats de l’enquête 2020 sur les récoltes estivales en Europe d’Alltech. Sur la base de plus de 270 échantillons d'aliments pour animaux provenant de 15 pays, plus de 75% des échantillons ont montré une présence de mycotoxines émergentes.
Bien que davantage de données s'accumulent sur les mycotoxines émergentes dans les aliments pour animaux, il existe encore un manque notable d'études in vivo mesurant l'impact de ce groupe de toxines sur la santé et la performance des animaux. Parmi les sept mycotoxines émergentes qu'Alltech 37+ peut actuellement détecter, cinq sont des métabolites de la moisissure Fusarium, tandis que l'alternariol provient de la moisissure Alternaria et la phomopsine A est un métabolite toxique du champignon Phomopsis.
Beauvericine (BEA)
Bien que des études sur la vitroscopie aient révélé que le BEA était toxique à la fois pour les rongeurs et la volaille, les mêmes résultats n'ont pas été observés dans un contexte in vivo. Les effets du BEA sur les aspects de l'immunité naturelle et la biodisponibilité des produits pharmaceutiques ont été suggérés par des études in vitro, et certains auteurs soulignent la nécessité de poursuivre les études in vivo pour en savoir plus sur ces impacts. Il y a également un manque de données in vivo pour d'autres espèces animales. L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a conclu que l'exposition aiguë à la BEA n'est pas préoccupante pour la santé humaine. En revanche, aucune conclusion n'a pu être tirée en ce qui concerne l'exposition chronique en raison du manque de données pertinentes sur la toxicité in vivo.
Enniatines A / A1 et B / B1 (ENN)
Lorsqu'elles sont analysées dans des études in vitro, les ENN se révèlent toxiques, alors que la plupart des données in vivo suggèrent une toxicité nulle ou faible. À l'instar de la BEA, les données in vitro impliquent un certain effet sur la biodisponibilité des produits pharmaceutiques, mais des recherches supplémentaires sont nécessaires pour tirer des conclusions plus valables. L'EFSA a tiré la même conclusion que le BEA en ce qui concerne l'impact sur la santé humaine - l'exposition aiguë n'est pas préoccupante, tandis que les effets d'une exposition chronique ne peuvent pas encore être entièrement identifiés en raison du manque de données sur la toxicité in vivo.
Moniliformin (MON)
La volaille est la plus sensible aux effets de cette mycotoxine, tandis que chez tous les animaux, le cœur est l'organe qui présente le plus de dommages, y compris la présence de lésions myocardiques. Les autres conditions fréquemment observées chez les animaux exposés au MON comprennent la faiblesse musculaire, la détresse respiratoire, une diminution de la consommation alimentaire, du gain de poids et une fonction immunitaire altérée.
Acide fusarique (AF)
Les affirmations indiquent que l'AF est sous-étudié pour ses actions de mode et ses effets sur le bétail. Sur les 274 échantillons collectés dans le cadre de l'enquête européenne sur les récoltes d'été, plus de 40% contenaient de l'AF. L'Europe du Sud a montré une présence particulièrement forte, plus de 86% des échantillons se sont révélés contaminés ici par des AF, principalement des grains de maïs. Certains auteurs suggèrent que l'AF peut agir en synergie avec les trichothécènes, comme le DON. Une étude de 1993 a trouvé peu d'effet de l'AF sur la volaille.
Alternariol (AOH)
La moisissure Alternaria pousse principalement sur les légumes, les fruits et les céréales. Des études in vitro suggèrent que l'AOH présente des effets génotoxiques potentiels. Cependant, d'autres études sont nécessaires pour valider les conclusions. De même, les données in vitro mettent en évidence un impact potentiel sur les organes reproducteurs et le système immunitaire, mais davantage de données in vivo sont nécessaires pour tirer des conclusions plus solides.
Phomopsine A
La phomopsine A est le principal métabolite toxique produit par la moisissure Phomopsis et s'avère jusqu'à cinq fois plus toxique que la phomopsine B. La moisissure Phomopsis est plus fréquente sur les cultures et les graines de lupin et provoque la lupinose chez les bovins et les moutons qui ingèrent des aliments contaminés. Le foie est l'organe le plus touché par cette toxine, étiquetant la phomopsine A comme une hépatotoxine. Cependant, elle affecte également d'autres organes, y compris les reins, les glandes surrénales, le rumen et le réticulum. La détection de lésions sur les organes affectés peut suggérer un problème causé par la phomopsine A.
Alors que de nombreuses mycotoxines entrent dans la catégorie «émergente», les sept ci-dessus sont actuellement détectées par Alltech 37+. Bien que des lacunes notables existent dans la compréhension de l’industrie des mycotoxines émergentes, les progrès des méthodes de détection et des recherches plus poussées permettent de mieux comprendre comment ces toxines se manifestent, leur impact sur les animaux et les solutions potentielles pour relever les défis présentés.
Références disponibles sur demande
Nous savons tous que 2020 a été une année en dents de scie pour les marchés des matières premières et, comme nous l'avons vu ces dernières semaines, 2021 semble suivre une voie similaire. Les marchés céréaliers se sont redressés jusqu'à la fin de l'année dernière, et en raison de la faible disponibilité des approvisionnements dans le monde, les prix continuent de monter en flèche. Cela se produit dans le contexte d'un macro-environnement marqué par l'affaiblissement du dollar américain et l'augmentation des importations de soja de la Chine. Compte tenu de ces facteurs, comment relever les principaux défis que sont :
Pour maintenir leur rentabilité, les producteurs de lait et de viande doivent examiner précisément leurs rations et coûts. En utilisant un fourrage de bonne qualité, en favorisant la santé du rumen et en utilisant une formulation de ration adaptée, les producteurs peuvent réduire leurs pertes et maintenir leurs opérations plus efficacement, ce qui permet de réaliser des économies potentielles. Cette agilité organisationnelle est d'une importance capitale pour surmonter le défi des protéines.
Avec l'augmentation constante des prix du maïs et du soja, les producteurs devraient tirer le meilleur parti des fourrages souvent moins chers. Des fourrages de la meilleure qualité possible est important, car il s'agit d'un élément majeur de la régulation du transit et de la rumination chez les ruminants. Mais il est l'ingrédient le plus variable en termes de digestibilité et de composition nutritive, et il représente une proportion plus importante de la ration que tout autre aliment. Un fourrage de haute qualité est plus digeste, vous pourrez donc en nourrir plus. La santé et la productivité du rumen s'amélioreront avec l'utilisation de fourrages de haute qualité, et à ce titre, les fourrages peuvent influencer l'efficacité alimentaire par le maintien d'un environnement ruminal sain.
Il existe plusieurs éléments pour augmenter l'efficacité alimentaire, mais l'un des plus importants est d'utiliser le rumen à son plein potentiel en soutenant l'activité et la croissance de sa microflore. Cela permet d'extraire le plus efficacement possible les éléments nutritifs de la ration. Les nutriments fournis à la microflore du rumen doivent être bien équilibrés en termes d'énergie fermentescible et d'apport protéique. La nutrition en protéines fermentescibles doit être spécifiquement adaptée pour maximiser l'activité et la croissance de la population microbienne du rumen, car les différentes populations ont des besoins différents en termes d'azote.
Pendant des années, les nutritionnistes ont suralimenté en protéines brutes pour répondre aux besoins en acides aminés des animaux à haut potentiel laitier ou d’engraissement. Outre l'augmentation significative du coût des intrants, cela se traduit également par une faible efficacité de l'azote et, par conséquent, par une excrétion d'azote plus importante, ce qui est préjudiciable à la fois à l'environnement et aux bénéfices du producteur. La vache laitière souffre intrinsèquement d'une mauvaise efficacité de l'azote, car l'azote en excès est d'abord transformé en ammoniac puis en urée - qui est partiellement recyclée, mais dont la grande majorité est excrétée. En fin de compte, ce processus entraîne une perte d'énergie due à la détoxification de l'ammoniac en urée. Ce coût énergétique se fait au détriment de la productivité et des fonctions biologiques. L'énergie nécessaire pour excréter l'excès d'azote chez une vache laitière équivaut à 2 kg de lait et peut entraîner :
Avec le resserrement de l'offre mondiale de protéines, les producteurs pourraient être confrontés à une pénurie dans le courant de l'année et devront augmenter leurs stocks existants. Mais que se passerait-il si des rations à faible teneur en protéines pouvaient être proposés tout en maintenant les performances ? La possibilité d'augmenter l'efficacité de l'azote grâce à Optigen®, une technologie d'azote non protéique d'Alltech®, repousse les limites de la nutrition protéique.
L'azote de l'Optigen est plus efficacement capturé par les bactéries du rumen et est transformé en biomasse microbienne supplémentaire - alors, pourquoi ne pourrait-on pas réduire l'apport total d'azote alimentaire ? Des chercheurs de la Penn State University ont repensé la formulation des rations pour les bovins laitiers en diminuant l'apport en protéines brutes de 16,5 % à 15,5 % tout en augmentant la quantité de fourrage donnée aux vaches grâce à l'introduction d'Optigen.
Dans cette étude, Optigen a partiellement remplacé le tourteau de soja et le tourteau de colza traités thermiquement. Cela a eu pour résultat :
Il en résulte une augmentation de la marge sur coût alimentaire, soit 0,16 $/vache/jour (1,44 MAD avec les coûts des matières premières locaux et prix du lait local).
En ce qui concerne les rations des bovins viande, une récente méta-analyse a mis en évidence la manière dont le remplacement partiel des protéines végétales par Optigen a entraîné une amélioration constante du gain de poids vif et de l'efficacité alimentaire des bovins de boucherie. Parmi les nombreux effets positifs, citons un gain de poids vif moyen plus élevé (de 8 %) et une meilleure efficacité alimentaire (de 8 %), l'inclusion d'ensilage de maïs renforçant les effets d'Optigen. Une analyse de simulation basée sur ces avantages a indiqué que l'utilisation d'Optigen pour un gain de poids de 200kg. Chez 1000 bovins permettrait d'améliorer l'efficacité alimentaire et de :
Dans un monde qui évolue rapidement, la stabilité peut sembler idéaliste. Cependant, pour une vache laitière ou un animal à l’engraissement à fort potentiel de production, la régularité dans la manière dont nous les alimentons et les gérons est cruciale pour qu'ils atteignent leur performance et leur rentabilité optimales. Chez Alltech, nous avons également identifié l’importance de la durabilité dans les systèmes agricoles durables et respectueux de l’environnement. De récentes annonces politiques dans le monde ont réitéré le fait que les systèmes alimentaires ne peuvent pas résister à des crises telles que la pandémie mondiale actuelle s'ils ne sont pas durables.
Optigen est une solution qui apporte de la stabilité au moment où nous en avons le plus besoin, qu'il s'agisse d'aider les producteurs à réduire leur dépendance à l'égard de sources de protéines dont le prix fluctue ou qui ne sont tout simplement pas disponibles ou de garantir des performances animales et une rentabilité globale de la production.
En résumé, il existe des moyens de réduire les coûts de l'alimentation et de maintenir la rentabilité de votre entreprise laitière ou bovine pendant la période actuelle et au-delà.
Voici six conseils pour vous aider :
Author: Bethany Gardner, InTouch Feeding Specialist
Quick, visual cow muck assessments during daily routines can give you a good indication of rumen health and diet digestibility.
Evaluating your dairy cow or beef cattle manure can help give an early indication of dietary problems that can occur year-round, at any stage of production and across all system types. These can include:
Simply look at the consistency across the yard or field and how quickly it is deposited from the cow!
Manure Score 1:
Very liquid, runny, shallow puddles.
This score indicates ruminal acidosis, irritation of the hindgut or even a disease issue.
Manure Score 2:
Manure does not pile, is fairly loose and stands up to 2.5 cm high.
This score indicates ruminal acidosis, irritation of the hindgut or even a disease issue, but less extreme than score 1. High-yielding and fresh cows could score 2 when fed a rich diet or transitioning.
Manure Score 3 (ideal consistency for lactating cows):
Thick, custard-like consistency that stands 4 cm tall. Forms concentric rings and does not stick to boots.
This score signals good rumen health and a well-digested ration. Nothing to worry about here!
Manure Score 4 (ideal consistency for dry cows or in-calf heifers):
Thick manure, well-formed.
In lactating cows, this score is an indication of a possible ration imbalance. This may be a sign that you need to increase the amount of degradable or soluble protein in the ration. Alternatively, it could be an indication of excess fibre in the diet.
Manure Score 5:
Stiff dung balls, stacking easily to 10 cm high.
This score is an indication of a possible ration imbalance and dehydration.
When assessing manure in a group of cows, it would be normal for 5% to have a different manure score from others. If there is greater than 5% variation, cows may be sorting the TMR or consuming clumps of spoiled feed.
If you spot any of these signs, you may need to tweak, reformulate or rebalance your ration to slow down the rate of passage and reduce your feed waste.
For a deeper insight into and evaluation of your cattle manure, the team at Alltech have a three-tiered muck screen. A muck sample — ideally representative of 10% of the herd — is sieved under running water. A sample indicating good rumen health, diet digestibility and feed efficiency should show more than 50% of faecal material in the bottom sieve and minimal undigested material in the top sieves. If the sieve shows a large proportion of undigested material in the form of fibre or wholegrain, it is clear the diet is not being used efficiently, which ultimately reduces profit margins.
Example of a three-tiered muck screen conducted by Alltech
Liam Murphy
Alltech Area Sales Manager South Waikato / Bay of Plenty
Email: liam.murphy@alltech.com
Phone: +64 (0) 27 245 4434
Originally from Ireland, Liam moved to New Zealand in 2010. Liam, with his wife Sarah and their three beautiful daughters, reside in Te Puke, the kiwifruit capital of the world. The Murphy family enjoy the rural lifestyle, especially spending time on the farm in Te Poi, Matamata.
Liam loves the agricultural industry, and has worked in dairy farming, business management and water reticulation in the past. This useful background knowledge gives him an edge as he is always keen to help support on farm when required. His real interest is in nutrition, to seek the most from the feed that is being used. His philosophy is simple: happy, healthy, fully fed cows - that was his goal when dairy farming.
Liam holds a 2nd degree black belt in Tae Kwon Do. Other hobbies include rugby, beach, family, water activities, driving two-wheelers and quadbikes. Liam says he "likes to work with humour so that Irish blood of his is stirring.
Liam is excited to join the Alltech team and to add his enthusiasm in sharing the Alltech story with the people in his region.
For support and information feel free to call LIam Murphy on 027 245 4434 or call our main office on 0800 ALLTECH.
Kate Cummings
Alltech Area Sales Manager based in Southland/Otago
Email: Kate.cummings@alltech.com
Phone: +64 (0) 27 589 2562
Raised in Southland on my parent's dairy farm, I developed my passion for farming and livestock. From an early age I started my own dairy cattle stud and began to buy cows and grow my small herd, and this herd is developing each season. I became more involved in the home farm operation and decision making, allowing me to gain a complete understanding of the farming operations.
I always wanted to know more about animal nutrition and what was required to enable to cow to increase performance, which led me to study at Lincoln University. At Lincoln, I completed a Bachelor of Agricultural Science majoring in Animal Health and Nutrition. I took a particular interest in mineral management, ruminant nutrition, intake and the issue of high producing cows' impact on their fertility.
I have worked on farms across New Zealand and have experience in various farming systems. With my background in animal health and nutrition, I can be an asset to farmers for assisting in a mineral and nutrition plan for their herd, while understanding and relating to current farming challenges.
Joining the Alltech team felt like the right choice, as I was already a supporer of the Alltech products through using them on my home farm for several seasons and seeing the herd thrive from the incorporation of Alltech Bioplex minerals into our herd diet. Understanding that dairy cows are high performing animals that need to be supplied with high quality nutrition is essential.
For support and information feel free to call our office on 0800 ALLTECH or myself, your local manager, Kate Cummings on 027 589 2562.
With a uniquely animal centred approach, the Alltech E-CO2 model has been approved by the industry body He Waka Eke Noa to help the dairy industry reach its commitment of every farm "knowing it's number" with respect to greenhouse gas (GHG) emissions by the end of 2022.
Of the options that have the industry approval, the E-CO2 approach has an entirely different ethos behind it. Alltech is one of the top five animal health companies globally, and their core competency is fermentation. Given that GHG is a by-product of fermentation, given that it is the animal that does the fermentation, and with their global experience in animal health and nutrition, Alltech put the animal at the centre of the puzzle. This means they quantify the improvements in environmental outcomes that come organically as farmers hit their production, health and welfare KPIs.
Alltech E-CO2 brings extensive nutritional expertise and on-farm focus to holistically deliver programmes that utilise a range of advice, tools and services to deliver outcomes that satisfy the animal, consumer and environment. Taking a partnership approach, they treat the challenge differently.
The Alltech model not only has approval for use in New Zealand, but also carries international standing. The model is populated with farm-specific animal parameters and feed data, allowing differentiation between farms meaning that every result is a New Zealand farm-specific result.
The life cycle observation approach that is utilised allows the most scope for individuals to exploit the interplay between various elements of their farm and gives the most chance of preserving economic sustainability. Having completed over 10,000 assessments globally, Alltech can verify that the most efficient and productive farms are consistently the ones with the best environmental footprint. That is why they put the animal at the centre of their approach.
Alltech ONE Simpósio de Ideias será realizado virtualmente entre os dias 22 e 24 de junho e contará com tradução simultânea
A saúde e a felicidade de nossos amados animais de estimação sempre foram primordiais, mas quais são os novos truques que a indústria pet vem aprendendo? Durante o Alltech ONE Simpósio de Ideias, que será realizado de 22 e 24 de junho, os participantes poderão conhecer como os tipos de ração e a propriedade de animais de estimação estão evoluindo.
Em sua 37ª edição, o encontro da indústria agroalimentícia global, conduzido pela Alltech, mantém seu objetivo de ser uma referência valiosa para informações atualizadas do setor. Pelo segundo ano na versão virtual, a plataforma do evento fornecerá ainda acesso a sessões temáticas sob demanda e transmissão de palestras e conversas ao vivo, com perguntas e respostas, pelos principais palestrantes. Além disso, este ano, os participantes poderão acessar uma rede interativa de contatos, que permitirá conexão com colegas de todo o mundo.
De acordo com o gerente de vendas para Pet Food da Alltech, Rafael França, essa será uma oportunidade que o setor de petfood no Brasil terá para participar de palestras atuais, com renomados pesquisadores mundiais, na facilidade e praticidade do virtual. “As palestras poderão ser vistas ao vivo ou em outros momentos. Traremos para este evento também o intenso networking, na qual as pessoas poderão discutir, trazer ideias e aprender. Além disso, o ONE será um evento que vai nos clarear ainda mais como seguirá esse mercado no pós-pandemia. Quem participar com certeza ganhará muito para seu negócio.”, afirma.
ONE Solidário
Mantendo o compromisso da Alltech com as comunidades em que atua, o Alltech ONE Simpósio de Ideias promove pela segunda vez o “ONE Solidário”. Nesta modalidade, a participação no evento será mediante doações em valores a partir de R$ 200, e toda a arrecadação será revertida para instituições de caridade como auxílio aos impactos causados pela pandemia de Covid-19.
Os participantes terão acesso às apresentações do evento, networking, perguntas e respostas com palestrantes selecionados, acesso aos conteúdos sob demanda, podcast do ONE, salão de exposições virtuais e mais de 100 vídeos, conteúdo novo e premium publicado regularmente, além de ofertas exclusivas para o próximo ONE. Os interessados em realizar as doações e saber mais sobre o evento podem acessar aqui: go.alltech.com/pt-br/one21.
Confira os temas das palestras sobre pets:
• O que está reservado para o futuro das lojas físicas?
• Os dias de cão acabaram: vencendo o baixo astral dos pets pós-pandemia
• Poder do cérebro: apoio na função cognitiva dos pets
• Reduzindo a pegada ambiental da sua marca
Alltech ONE Simpósio de Ideias será realizado virtualmente entre os dias 22 e 24 de junho e contará com tradução simultânea
As apostas são altas quando se trata da saúde e bem-estar de nossos cavalos. Durante o Alltech ONE Simpósio de Ideias, que será realizado de 22 e 24 de junho, os participantes poderão conhecer os avanços em nutrição, sustentabilidade e até mesmo em marketing que estão assumindo a liderança na indústria equina.
Em sua 37ª edição, o encontro da indústria agroalimentícia global, conduzido pela Alltech, mantém seu objetivo de ser uma referência valiosa para informações atualizadas do setor. Pelo segundo ano na versão virtual, a plataforma do evento fornecerá ainda acesso a sessões temáticas sob demanda e transmissão de palestras e conversas ao vivo, com perguntas e respostas, pelos principais palestrantes. Além disso, este ano, os participantes poderão acessar uma rede interativa de contatos, que permitirá conexão com colegas de todo o mundo.
Sobre o setor de equinos, haverá discussões sobre bem-estar, nutrição, sustentabilidade, marketing e ambiente.
ONE Solidário
Mantendo o compromisso da Alltech com as comunidades em que atua, o Alltech ONE Simpósio de Ideias promove pela segunda vez o “ONE Solidário”. Nesta modalidade, a participação no evento será mediante doações em valores a partir de R$ 200, e toda a arrecadação será revertida para instituições de caridade como auxílio aos impactos causados pela pandemia de Covid-19.
Os participantes terão acesso às apresentações do evento, networking, perguntas e respostas com palestrantes selecionados, acesso aos conteúdos sob demanda, podcast do ONE, salão de exposições virtuais e mais de 100 vídeos, conteúdo novo e premium publicado regularmente, além de ofertas exclusivas para o próximo ONE. Os interessados em realizar as doações e saber mais sobre o evento podem acessar aqui: go.alltech.com/pt-br/one21.
Confira os temas das palestras sobre equinos:
• Bem-estar equino: uma esperança para adoção - Yvonne Barteau, fundadora, Horses Without Human
• Envelhecimento com qualidade de vida: estratégias para alimentar seu cavalo sênior - Dra. Tania Cubitt, nutricionista de equinos, Performance Horse Nutrition
• Pensando verde: sustentabilidade no manejo de equinos - Alayne Blickle, criadora e diretora, Horses for Clean Water
• Design fotográfico: marketing no mercado de equinos - Stefan Hartung, cofundador e líder de criatividade, Kick
• Pesquisa sobre uso de minerais em equinos: os benefícios dos minerais orgânicos - Dra. Mieke Holder, professora assistente, University of Kentucky
• Um show à parte: a máxima experiência com cavalos - Jim Wolf, presidente, Wolf Sports Group LLC
Apenas em 2020, dados do Instituto Brasileiro de Geografia e Estatística (IBGE) apontam que 16,3 milhões de pessoas com emprego no País tiveram o rendimento que recebiam reduzido e 13,5 milhões não foram afastadas, mas trabalham menos que o habitual. Essa nova realidade, causada pela pandemia da Covid-19, tem impactado a renda de muitas famílias brasileiras.
Buscando auxiliar essas pessoas e com o propósito de manter o compromisso com as comunidades em que atua, a Alltech realiza pela segunda vez o “ONE Solidário”, em que a participação no Alltech ONE Simpósio de Ideias, evento virtual global que ocorre entre os dias 22 e 24 de junho de 2021, será através de doações para instituições de caridade no Brasil como auxílio na redução dos impactos causados pela pandemia de Covid-19.
“Como indústria, temos convocado diversos setores a atuarem em conjunto por um planeta de abundância. Essa é uma forma de renovar nossas esperanças, revertendo as doações para instituições que atendam famílias brasileiras em situação de vulnerabilidade social impactadas pela pandemia”, explica o vice-presidente da Alltech na América Latina, Paulo Rigolin.
Inscrição
Na modalidade “ONE Solidário”, os valores para participar do evento devem ser de no mínimo R$ 200. Os participantes terão acesso às apresentações do evento, networking, perguntas e respostas com palestrantes selecionados, acesso aos conteúdos sob demanda, podcast do ONE, salão de exposições virtuais e mais de 100 vídeos, assim como conteúdo novo e premium publicado regularmente, além de ofertas exclusivas para o próximo ONE. Os interessados em realizar as doações e saber mais sobre o evento podem acessar aqui: https://go.alltech.com/pt-br/one21.
Evento
O Alltech ONE Simpósio de Ideias, que reuniu mais de 21 mil pessoas na edição passada, de 118 países, será realizado virtualmente, com tradução simultânea para português na maioria das palestras. O evento irá abordar temas relacionados à aquicultura, bovinos de corte, agricultura, bovinos de leite, equinos, saúde e bem-estar, business, pets, suínos e aves. As principais discussões serão sobre os desafios atuais da agroindústria, inspirações e oportunidades para superá-los.
Serviço:
Alltech ONE Simpósio de Ideias (ONE):
Data: de 22 a 24 de junho de 2021
Mais informações: https://go.alltech.com/pt-br/one21
Per maggiori informazioni contattaci alltechitaly@alltech.com, uno dei nostri tecnici ti risponderà il prima possibile.
