[LEXINGTON, Kentucky] – Afin de renforcer son ambition de travailler en partenariat pour une agriculture plus durable, Alltech Crop Science a acquis Ideagro, basée à Murcie, en Espagne. Ce partenariat permettra de lier les forces de deux entreprises de premier plan dans le secteur et d’accélérer la recherche sur les sols et les cultures pour améliorer l’offre de produits biologiques et autres solutions basées sur les micro-organismes. 

« Nous sommes ravis d’annoncer qu’Ideagro a rejoint l’équipe mondiale d’Alltech Crop Science, un partenaire qui partage notre vision et augmente considérablement nos capacités de recherche », a déclaré Andy Thomas, PDG d’Alltech Crop Science. « C’est la concrétisation d’un partenariat de longue date. Nous travaillons en étroite collaboration avec l’équipe d’Ideagro depuis leur fondation il y a 11 ans. »

Ideagro est un leader de la recherche et du développement agroalimentaire avec une équipe de plus de 20 scientifiques. Elle s’engage à améliorer la productivité et la rentabilité des systèmes agricoles. Son expertise dans le développement d’organismes bénéfiques pour les sols favorise la croissance des cultures, réduit l’impact des intrants chimiques et aide les plantes à résister au stress biotique et abiotique. Les capacités analytiques d’Ideagro, avec un accent particulier sur la recherche  in vitro, la  phytopathologie, la dynamique des sols et les micro-organismes, permettent aux producteurs d’identifier les micro-organismes et de quantifier l’activité enzymatique dans le sol.

« Nous voyons une grande opportunité de croissance pour Ideagro car cette acquisition nous offre plus de moyens et plus de capacité technologique pour développer notre recherche, qui aura maintenant une projection mondiale », a déclaré Pedro Palazón, PDG d’Ideagro. « Nous n’étudierons plus seulement les sols de la péninsule ibérique, mais nous travaillerons avec des sols du monde entier pour parvenir à une agriculture plus durable et respectueuse de l’environnement. »  

Ideagro dispose de laboratoires de pointe, de stations de recherche expérimentale et de champs pour la réalisation d’essais en Espagne. À ce jour, l’entreprise a étudié plus de 90 cultures différentes et effectué plus de 10 000 analyses physico-chimiques et biologiques. Cela a conduit au développement de nouvelles stratégies agricoles basées sur les micro-organismes.

Les trois laboratoires d’Ideagro sont entièrement équipés des dernières technologies pour se concentrer sur les nutraceutiques, la phytopathologie, la recherche et le développement et la biologie moléculaire. Leurs services comprennent :

• Diagnostic précis, identification et semi-quantification de plus de 290 micro-organismes au niveau de l’espèce dans différentes cultures. Grâce au développement de kits de détection multi spécifiques, ils peuvent détecter simultanément jusqu’à 40 micro-organismes pathogènes dans un seul échantillon, avec des résultats en 24 à 48 heures.
• Identification moléculaire de micro-organismes ainsi que caractérisation génétique de souches spécifiques et détermination des pathotypes d’un agent pathogène.
• Analyse des nématodes.
• Conception de sondes spécifiques pour des micro-organismes spécifiques. En conséquence, Ideagro est capable de détecter des micro-organismes spécifiques dans le sol, l’eau, le matériel végétal et les biostimulants.
• Analyses de mycotoxines. Avec plus de 15 000 analyses réalisées à ce jour, Ideagro peut identifier et quantifier les risques de l’aflatoxine B1, des fumonisines, de la zéaralénone et du déoxynivalénol trichothécènes et de la toxine T2. Elles fournissent des données mensuelles sur la contamination par les mycotoxines dans l’alimentation animale et dans les principales cultures des marchés espagnol et européen.

Ideagro est accrédité par MAPAMA (EOR 82/13) et possède la certification ISO 9001:2015. En juin 2021, il a été nommé laboratoire régional de référence par GLOSOLAN, la division du Laboratoire mondial des sols de la FAO.

Pour plus d’informations sur Alltech Crop Science, visitez https://www.alltech.com/fr-ma/nutrition-vegetale.

[LEXINGTON, Kentucky] Alltech a publié ses Perspectives agroalimentaires Alltech 2023 (Agri-Food Outlook 2023), mettant en évidence les données de l’enquête mondiale sur la production d’aliments pour animaux. Malgré d’importants défis macroéconomiques qui ont affecté l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement, la production mondiale d’aliments pour animaux est restée stable en 2022 à 1,266 milliard de tonnes métriques (BMT) en 2022, soit une baisse de moins d’un demi pour cent (0,42%) par rapport aux estimations de 2021. L’enquête annuelle, qui en est à sa 12e année, comprend des données provenant de 142 pays et de plus de 28 000 usines d’aliments pour animaux.

L’Europe a été la plus touchée par les conséquences, y compris les défis importants en matière de maladies, les conditions météorologiques extrêmes et les impacts de l’invasion de l’Ukraine. La pandémie mondiale de COVID-19 a entraîné des répercussions majeures sur le secteur agroalimentaire, contribuant aux défis de la chaîne d’approvisionnement et accélérant l’adoption de nouvelles technologies et de pratiques de durabilité environnementale.

Les 10 principaux pays producteurs d’aliments pour animaux au cours de la dernière année étaient la Chine (260,739  millions de tonnes métriques ou MMT), les États-Unis (240,403 MMT), le Brésil (81,948 MMT),  l’Inde (43,360 MMT), le Mexique (40,138 MMT), la Russie (34,147 MMT), l’Espagne (31,234 MMT), le Vietnam (26,720 MMT), l’Argentine (25,736  MMT) et l’Allemagne (24,396 MMT). Ensemble, les 10 principaux pays ont produit 64 % de la production mondiale d’aliments pour animaux, et la moitié de la consommation mondiale d’aliments pour animaux est concentrée dans quatre pays : la Chine, les États-Unis, le Brésil et l’Inde. Le Vietnam a connu une forte reprise en termes de tonnage fourrager en 2022, entrant dans le top 10 devant l’Argentine et l’Allemagne et évinçant la Turquie, qui a signalé une réduction du tonnage fourrager. La Russie a dépassé l’Espagne, où il y a eu une réduction significative de la production d’aliments pour animaux.

Principales observations de l’enquête :

• La production d’aliments pour animaux a augmenté dans plusieurs régions, dont l’Amérique latine (1,6%), l’Amérique du Nord (0,88%) et l’Océanie (0,32%), tandis que l’Europe a diminué de 4,67%, l’Afrique de 3,86% et la région Asie-Pacifique a également chuté de 0,51%.
• À l’échelle mondiale, des augmentations du tonnage d’aliments ont été signalées dans les secteurs de l’aquaculture, des poulets de chair, des pondeuses et des  aliments pour animaux de compagnie, tandis que des baisses ont été signalées dans les secteurs du bovin viande, des vaches laitières.
• Bien qu’elle ait connu une faible réduction de la production d’aliments pour animaux, la Chine reste le plus grand pays producteur d’aliments pour animaux au monde, suivie des États-Unis et du Brésil.

Résultats notables pour les espèces :

• Le secteur de la volaille a connu une augmentation de la production d’aliments pour poules pondeuses et pour poulets de chair.  
  • La grippe aviaire, d’autres maladies et les coûts élevés des matières premières ont affecté le secteur des pondeuses sur de nombreux marchés, en particulier en Asie,  en Europe et en Afrique. D’autre part, la croissance du secteur a été stimulée en raison de défis plus importants dans d’autres secteurs qui ont entraîné une augmentation de la demande d’œufs. Dans l’ensemble, la production d’aliments pour animaux du secteur des pondeuses a augmenté de 0,31 %.
     
  • Alors que le tonnage global dans le secteur des poulets de chair a augmenté de 1,27%, il y avait des différences significatives d’un pays à l’autre. Dans l’ensemble, la croissance de la production d’aliments pour animaux dans le secteur des poulets de chair a été signalée principalement au Moyen-Orient, en Amérique du Nord et en Amérique latine.
• Le tonnage d’aliments pour vaches laitières a diminué de 1,32 %, principalement en raison du coût élevé des aliments pour animaux combiné à la faiblesse des prix du lait, ce qui a incité les agriculteurs à réduire leur nombre de vaches et/ou à compter davantage sur des sources d’aliments non commerciales. Parmi les exceptions, citons l’Irlande, où la sécheresse a amené les agriculteurs à dépendre davantage des aliments commerciaux, et la Nouvelle-Zélande, où les prix du lait étaient plus élevés.
• La production d’aliments pour les bovins de boucherie a légèrement diminué de 0,34 % à l’échelle mondiale. La tendance à la baisse s’est poursuivie en Europe, mais des augmentations ont été observées dans presque toutes les autres régions. En Australie, la réduction du tonnage fourrager était le résultat de l’abondance de l’herbe et non d’un changement dans la demande de bœuf. 

• Le secteur de l’aquaculture a connu une croissance mondiale totale de la production d’aliments pour animaux de 2,7 %. Les 5 principaux pays d’alimentation aquacole sont la Chine, le Vietnam, l’Inde, la Norvège et l’Indonésie. Des augmentations significatives ont été signalées en Chine, au Brésil, en Équateur, aux Philippines et aux États-Unis. La production d’aliments pour animaux aquacoles a été l’un des rares secteurs à connaître une croissance en Europe.
   
• La production d’aliments pour animaux de compagnie a connu la plus forte augmentation parmi les secteurs, avec une augmentation moyenne mondiale de 7,25% de la production. Cette augmentation significative est en grande partie due à l’augmentation du nombre de propriétaires d’animaux de compagnie dans le contexte de la pandémie de COVID-19. L’Amérique du Nord et l’Europe continuent d’être les principales régions productrices d’aliments pour animaux de compagnie.

 Résultats régionaux notables :

• L’Amérique du Nord a enregistré une augmentation de 0,88 % (2,272 MMT) et les États-Unis sont restés le deuxième plus grand pays producteur d’aliments pour animaux au monde, derrière la Chine. Une croissance a été signalée dans les secteurs des poulets de chair, du bovin de boucherie et des aliments pour animaux de compagnie.

• L’Amérique latine a connu une croissance de 1,6 % (3,066 MMT) et le Brésil est resté le leader de la production d’aliments pour la région et s’est classé au troisième rang mondial. La majeure partie de la croissance a été signalée par le Mexique, le Brésil et le Chili.

• L’Europe a connu la plus forte baisse de la production d’aliments  de 4,67% (-12,882 MMT) de sa production d’aliments pour animaux en raison de problèmes tels que la guerre en Ukraine et la propagation de maladies animales, telles que la grippe aviaire (AI).

• L’Asie-Pacifique est demeurée stable, les baisses enregistrées en Chine, au Pakistan,  en Thaïlande et en Malaisie ayant été contrebalancées par des hausses au Vietnam, aux Philippines, en Mongolie et en Corée du Sud. La région abrite plusieurs des 10 principaux pays producteurs d’aliments pour animaux, dont la Chine, l’Inde  et le Vietnam.

• L’Afrique a connu une baisse de 3,86 % du tonnage fourrager (-1,718 MMT), principalement en raison des réductions signalées en Égypte, au Maroc, au Kenya et au Nigéria. L’Afrique du Sud, en revanche, a connu une augmentation de plus de 2% et la Namibie a également signalé une augmentation du tonnage fourrager en 2022.

• La région du Moyen-Orient est en hausse significative de 24,7% (6,301 MMT), grâce à des rapports plus précis et aux efforts déployés par le gouvernement saoudien pour augmenter la production de poulets de chair dans le cadre de son plan Vision 2030.

• L’Océanie est restée stable, avec une légère réduction signalée par l’Australie qui a été compensée par une légère augmentation signalée par la Nouvelle-Zélande.

Alltech collabore avec des usines d’aliments pour animaux et des entités industrielles et gouvernementales du monde entier pour compiler des données et des informations afin de fournir une évaluation de la production d’aliments pour animaux chaque année. La production et les prix des aliments composés ont été collectés par l’équipe des ventes mondiales d’Alltech et en partenariat avec les associations locales d’aliments pour animaux au cours du dernier trimestre de 2022. Ces chiffres sont des estimations et sont destinés à servir de source d’information pour les intervenants de l’industrie.

Pour accéder à plus de données et d’informations tirées des Perspectives agroalimentaires Alltech 2023, y compris une carte mondiale interactive, visitez alltech.com/agri-food-outlook.

Salvaguardar o bem-estar e o desempenho dos animais é uma prioridade em qualquer exploraçãp pecuária. As micotoxinas, que representam um risco sério e contínuo para a qualidade da ração, podendo comprometer  esses objetivos. A Análise Europeia de Colheitas Alltech revelou um desafio consideravelmente elevado de micotoxinas em 2023, motivado principalmente pelas desafiantes condições climáticas em todo o continente europeu.

O problema das micotoxinas geralmente começa no campo, mas mesmo que as matérias-primas da ração não estejam contaminadas ou minimamente contaminadas à colheita, podem desenvolver elevados níveis de micotoxinas durante o armazenamento. A gestão adequada do armazenamento é, portanto, essencial para minimizar mais riscos. E num ano com um elevado desafio de micotoxinas, como foi 2023, isso é ainda mais importante.

Este artigo aborda as principais práticas de gestão de armazenamento da ração com vista a minimizar o desafio contínuo das micotoxinas.

Por que é importante o armazenamento?

Como todos os bolores e fungos, os que produzem micotoxinas prejudiciais desenvolvem-se em condições de elevada humidade, temperatura variável, com infestação de insetos e exposição ao oxigénio. A monitorização e a manutenção regulares, com vista a manter as condições ideais nos cereais e nas forragens, tanto à colheita como durante o armazenamento, são cruciais.

Armazenamento de cereais:

Para armazenamento a curto prazo, seque os cereais o mais rápido possível após a colheita, mantendo o nível de humidade abaixo de 16%. Para armazenamento a longo prazo (6 –12 meses), o nível de humidade dos cereais deve ser inferior a 14%.

• Evite a acumulação de humidade, garanta um bom arejamento dos silos e outros depósitos de cereais (a manutenção regular dos sistemas de ventilação é importante para um desempenho ótimo).
• Monitorize regularmente a temperatura e a humidade dos cereais.
• Controle os insetos de forma eficaz.
• Inspecione os silos e outros depósitos para detectar fugas e acumulação de humidade.
• Limpe e inspecione cuidadosamente os silos e outros depósitos entre diferentes lotes de cereais e rações.
• Sempre que possível, as matérias-primas devem ser utilizadas numa lógica «primeiro a entrar, primeiro a sair».
• Aplique um inibidor de bolor como o Mold–Zap® para ajudar a reduzir o desenvolvimento de fungos.
• Estabeleça um programa de monitorização detalhado com um conjunto claro de procedimentos operacionais padrão (POPs).

Armazenamento de forragem:

Como os bolores necessitam de oxigénio para crescer, é fundamental criar e manter um ambiente anaeróbio para reduzir o crescimento e o subsequente risco de micotoxinas.

• Idealmente, ensile todas as forragens com 32% a 36% de matéria seca (MS).
• Sele bem o silo e monitorize-o regularmente para garantir que o ambiente anaeróbio é mantido durante todo o período de armazenamento.
• Use uma ferramenta de corte afiada para remover a forragem do silo.
• Utilize toda a face do silo no mais curto período de tempo (idealmente, cinco dias no máximo).
• Prepare a ração mista total (TMR) com forragem acabada de retirar do silo e alimente o gado com ela de imediato.
• Remova diariamente os restos de ração não consumidos, antes de colocar alimentos frescos nos comedouros.
• Seja rigoroso na limpeza das áreas de preparação das misturas e dos comedouros, nomeadamente, eliminando restos de ração com bolor.

Conclusões da Análise Europeia de Colheitas Alltech 2023

A Alltech trabalha com os produtores para criar estratégias personalizadas de gestão de micotoxinas que complementam estas técnicas de armazenamento. Este processo começa com a recolha de informação detalhada sobre a ameaça das micotoxinas em determinadas regiões, culturas e espécies.

O programa anual Análise Europeia de Colheitas Alltech fornece esta informação. O relatório de 2023, divulgado em dezembro, teve por base análises e avaliação de mais de 1.100 amostras, a maioria realizada no laboratório de ponta Alltech 37+ ® em Dunboyne, na Irlanda. Este trabalho revelou uma ameaça acrescida em todo o continente europeu, em parte como resultado de condições meteorológicas desafiantes e um clima cada vez mais extremo.

Algumas das principais conclusões da Análise Europeia de Colheitas Alltech 2023 indicam que:

• Cada amostra continha em média de 4,4 micotoxinas.
• Os desafios relacionados com o Fusarium no trigo e na cevada são elevados devido a chuvas persistentes.
• A cevada apresenta o maior risco entre os cereais de pequeno grão.
• Existem vários desafios de micotoxinas no milho em toda a Europa Central e do Sul.
• A silagem de erva no Reino Unido e na Irlanda representa um risco de Penicillium para os produtores de leite.

Estas conclusões realçam  a necessidade de tomar medidas no sentido de  proteger a rentabilidade, produtividade,  o estado geral de saúde e bem-estar dos animais.

Proteja-se contra o risco de micotoxinas

Inscreva-se aqui para poder descarregar o relatório completo e ter acesso a outros recursos, incluindo:

• Um mapa interativo de risco de micotoxinas
• Materiais e artigos descarregáveis
• Uma série de vídeos com informações de especialistas da Alltech

Essas ferramentas essenciais irão capacitá-lo permitir lhe tomar as decisões mais eficazes de controlo de micotoxinas durante a próxima campanha de alimentação.

• Los datos recopilados en esta decimosegunda encuesta anual señalan que la producción global de piensos en 2022 se mantuvo estable con 1. 266 millones de toneladas métricas.

• Los alimentos para mascotas mostraron el crecimiento más importante, mientras que la producción de pienso para el vacuno de carne se mantuvo igual.

Las Perspectivas del Sector Agroalimentario de Alltech para 2023 fueron dadas a conocer hoy; destacando los resultados de la encuesta anual de la compañía sobre la producción mundial de piensos. A pesar de los duros desafíos macroeconómicos que afectaron a toda la cadena de suministro, la oferta de alimentos para animales se mantuvo estable (a nivel global) en 2022 con 1.266 millones de toneladas métricas (MTM) producidas, lo que supuso un descenso de menos de medio punto porcentual (0.42%), comparándolo con las estimaciones de 2021. En su decimosegundo año, este estudio recoge datos de 142 países y de más de 28.000 plantas de fabricación.

La encuesta mostró que Europa fue la región que se vio más afectada por factores como el riesgo de enfermedades, las inclemencias climáticas o las repercusiones de la guerra en Ucrania. Asimismo, la pandemia del Covid-19 continuó teniendo repercusiones significativas en el sector agroalimentario, lo que intensificó los desafíos en la cadena de suministro e impulsó la adopción de nuevas tecnologías y prácticas de sostenibilidad.

Los 10 principales países productores de pienso de 2022 fueron: China (260.739 MTM), Estados Unidos (240.403 MTM), Brasil (81.948 MTM), India (43.360 MTM), México (40.138 MTM), Rusia (34.147 MTM), España (31.234 MTM), Vietnam (26.720 MTM), Argentina (25.736 MTM) y Alemania (24.396 MTM).

Juntos, estos 10 primeros países representaron el 64% de la producción mundial de pienso. Y la mitad del consumo global de alimentos para animales se concentró en 4 países: China, Estados Unidos, Brasil e India. Vietnam, por su lado, experimentó una gran recuperación en lo que respecta a su tonelaje en 2022, ingresando con ello a esta lista de 10, por delante de Argentina y Alemania, y sacando a Turquía (país que mostró una reducción de su producción). Asimismo, Rusia superó a España, país que sufrió una disminución significativa de su oferta.

Principales resultados de la encuesta:

• La producción de pienso se incrementó en varias regiones del mundo: América Latina (1.6%), Norteamérica (0.88%) y Oceanía (0.32%). Mientras que en Europa disminuyó un 4.67%, en África un 3.86% y en Asia-Pacífico un 0.51%.
• A nivel mundial, el tonelaje de pienso aumentó en los sectores de acuicultura, pollos de engorde, ponedoras y mascotas. Mientras que disminuyó en los sectores de vacuno de carne, vacuno de leche y cerdos.
• Si bien China experimentó una ligera disminución en su producción de piensos, sigue siendo el principal país productor del mundo, seguido de Estados Unidos y Brasil.

Resultados destacados por especie:

• El sector de aves experimentó un aumento en la producción de pienso, tanto para ponedoras como para pollos de engorde:    
  • La influenza aviar, otras enfermedades y el elevado costo de las materias primas afectaron a la industria de ponedoras en muchas regiones, especialmente en Asia, Europa y África. Sin embargo, el crecimiento de esta industria se vio favorecido por los mayores desafíos en otros sectores lo que impulsó la demanda de huevos. En general, la producción de pienso para ponedoras aumentó un 0.31%.
  • Si bien el tonelaje de pienso aumentó a nivel global un 1.27% en el sector de pollos de engorde, se registraron diferencias significativas entre países. En general, el incremento de la producción de dietas para estos animales se registró principalmente en las regiones de Medio Oriente, Norteamérica y América Latina.
• La producción mundial de pienso para cerdos descendió en 2022 en casi el 3%. La peste porcina africana y los elevados precios de las materias primas para las dietas afectaron a la industria porcina de muchos países. Sin embargo, en Vietnam, China, Sudáfrica, Brasil y México, el aumento del precio de la carne de cerdo y otras condiciones favorables de los mercados permitieron el crecimiento del consumo este sector.
• El tonelaje de pienso para ganado de leche disminuyó un 1.32%, debido principalmente a los altos costos de los ingredientes para las raciones, junto con los bajos precios de la leche. Esto provocó que los ganaderos redujeran su número de vacas u optaran por fuentes alternativas de alimentación. Algunas excepciones fueron Irlanda (donde la sequía hizo que los productores recurrieran más a las dietas comerciales) y Nueva Zelanda (donde el precio de la leche fue más alto).
• La producción de pienso para vacuno de carne disminuyó ligeramente un 0.34% a nivel mundial. Esta tendencia a la baja se observó en Europa, pero se registraron aumentos en casi todas las demás regiones. En Australia, la reducción del tonelaje de las raciones se debió a la abundancia de pasto y no a cambios en la demanda de carne de bovino. 
• El sector acuicultura mostró en general un crecimiento en la producción global de pienso con un 2.7%. Los 5 principales países productores fueron China, Vietnam, India, Noruega e Indonesia. Y se registraron aumentos significativos en China, Brasil, Ecuador, Filipinas y Estados Unidos. La acuicultura fue uno de los pocos sectores de la proteína animal que experimentó un crecimiento en Europa –en lo que respecta a tonelaje de pienso–.
• La producción de alimento para mascotas registró el mayor crecimiento entre todos los sectores, con un aumento promedio de 7.25% a nivel mundial. Esta importante alza se debió en gran medida al incremento de la tenencia de animales de compañía en el contexto del Covid-19. Norteamérica y Europa siguen siendo las principales regiones productoras de alimentos para mascotas.

Resultados destacados por regiones:

• En Norteamérica se registró un aumento de 0.88% (2.272 MTM) y Estados Unidos siguió siendo el segundo país productor de pienso del mundo, después de China. En los sectores de pollos de engorde, vacuno de carne y mascotas se registraron crecimientos.
• América Latina experimentó un crecimiento de 1.6% (3.066 MTM) y Brasil continuó siendo el primer país productor de pienso de la región, y ocupó el tercer puesto a nivel global. Por otro lado, la mayoría de los crecimientos se registraron en México, Brasil y Chile.
• En Europa se registró el mayor descenso en la producción de pienso con 4.67% (-12.882 MTM), debido a factores como la guerra en Ucrania y la propagación de enfermedades entre animales (como la peste porcina africana o la influenza aviar).
• La región de Asia-Pacífico se mantuvo sin cambios, ya que los descensos registrados en China, Pakistán, Tailandia y Malasia, fueron compensados con los incrementos en Vietnam, Filipinas, Mongolia y Corea del Sur. Además, en la región se encuentran varios de los 10 principales países productores de pienso del mundo como: China, India y Vietnam.
• África mostró una caída de 3.86% en su tonelaje de pienso (-1.718 MTM), debido principalmente a los descensos registrados en Egipto, Marruecos, Kenia y Nigeria. Sin embargo, en Sudáfrica se observó un aumento de más del 2% y en Namibia también se vio una mayor producción de alimentos para animales en 2022.
• En la región de Medio Oriente se registró un aumento importante de 24.7% (6.301 MTM) de su tonelaje de pienso, gracias a informes más precisos y a los esfuerzos del gobierno de Arabia Saudita de impulsar su producción de pollos de engorde –como parte de su plan Visión 2030–.
• La producción de pienso en Oceanía se mantuvo sin cambios, con un pequeño descenso registrado en Australia, que fue compensado con un ligero aumento en Nueva Zelanda.

Alltech trabaja con plantas de producción de pienso y con instituciones de la industria y de distintos gobiernos –de todo el mundo– para recopilar datos e información que permitan llevar a cabo este estudio anual sobre la producción de alimentos para animales.

La producción y los precios del pienso fueron recopilados por el equipo de ventas global de Alltech, en colaboración con asociaciones locales de alimentos para animales durante el último trimestre de 2022. Estos datos son estimaciones y tienen el propósito de servir como fuente de información para los involucrados en la industria agropecuaria.

Accede al informe completo en este enlace.

Når temperaturen begynder at stige, er der én ting, som alle mælkeproducenter har i tankerne: varmestress. Varmen kan let påvirke dine køers ydeevne og sundhed og i sidste ende din rentabilitet.  

Varmestress er et veldokumenteret problem, som de fleste landmænd har stiftet bekendtskab med og har en handleplan for, i forhold til deres malkekøer. Det er dog ikke kun køerne, der bliver ramt af varmen. Kalve kan også blive ramt af varmestress, og selv om virkningerne heraf måske ikke umiddelbart påvirker din produktion og indtjening, kan det få problematiske konsekvenser senere, hvis du ikke tager fat på problemet tidligt.  
Hvad er de specifikke symptomer på varmestress hos kalve, og hvad kan du gøre for at bekæmpe den?  
 

Tegn på varmestress

De fleste tegn på varmestress hos kalve er lette at se uden en grundig undersøgelse. Generel unormal adfærd kan give anledning til bekymring. Sørg for at holde øje med disse tegn:  

• Hurtigere vejrtrækning med åben mund.
• Tab af appetit.
• Reduceret bevægelse.  
• Øget tid stående og mindre liggetid.  
• Drikker mindre mælk.
• Reduceret foderindtag.  
• Øget vandforbrug.  

Alt dette tyder på, at kalven er under stress. Ved nærmere eftersyn kan man også se, at varmestressede kalve har:

• Hurtige vejrtrækninger, der kan nå op på 24-36 vejrtrækninger pr. minut.    
• Dehydrering.  
• Kropstemperaturen kan stige til over 39,5˚C  
• Reduceret tilvækst; dette skyldes både den reducerede foderindtagelse, men også at kalven bruger sin energi på vedligeholdelse af kroppen.  

Hvis der ikke gribes ind, kan disse problemer få drastiske konsekvenser for det unge dyrs helbred. Ubehandlet varmestress hos kalve kan føre til flere tilfælde af:    

• Lungebetændelse.  
• Diarré.  
• Morbiditet.  
• Dødelighed.  

Stald og miljø

Så hvad kan du gøre for at forhindre, at varmestress bliver et problem for dine kalve? For det første skal du sikre, at kalvestalden/-boksen, kan give læ for varmen. Flere af de mere almindeligt anvendte stald- og boksløsninger kan faktisk forværre risikoen for varmestress. Mange landmænd bruger f.eks. plastikhytter, som er ideelle til at beskytte de unge dyr mod regn, sne og blæst, men i varmt vejr absorberer og fastholder disse hytter varmen, hvilket kan gøre dem ret ubehagelige. På samme måde bruger mange landmænd halm som strøelse, men også dette holder på varmen og er uønsket ved højere temperaturer.  

Én af de lavthængende frugter, når det kommer til at optimere sin stald mod varmestress, er at sikre en god luftgennemstrømning. Det vil hjælpe kalvene med at holde sig kølige og behagelige. 

Andre ændringer, man kan lave, er bl.a: 

• Løft kalvebokse/-hytter over jorden så der kommer bedre cirkulation.  
• Brug tæpper eller lagner til at skabe skygge for bokse, der står udenfor
• Brug sand, savsmuld (træspåner) som strøelse; det er mindre varmeabsorberende.
• Hvis der er flere kalve i de enkelte bokse, så sørg for, at alle kan få skygge
• Sørg for at muge ud regelmæssigt, så kalvene altid ligger tørt  

Foder

Som du kan forestille dig, er væsketilførsel et af de vigtigste punkter for at kunne håndtere varmestress. Som nævnt ovenfor er det sandsynligt, at kalve, der føler varmestress, er dehydrerede, og derfor skal de øge deres vandindtag. For at løse disse problemer effektivt skal du sørge for, at dine kalve aldrig mangler noget at drikke. 
Her er nogle ting, du kan anvende på din bedrift:

• Sikr, at der er adgang til rent og friskt vand i skyggeområder  
• Sørg for, at vandet er rent og køligt  
• Sørg for, at kalvene drikker alt deres mælk
• Giv kalvene et elektrolyttilskud midt på dagen – ekstra energi når de har mest brug for det
• Giv kalvene friskt foder hver dag
   

Når det gælder fodring, er timing alt afgørende ved høje temperaturer. Sørg for, at:

• Øge mængden af foder om morgenen, så dine kalve får den bedst mulige start på dagen. 
• Udskyde eftermiddagsfodringen til om aftenen, når temperaturen er lavere.  

Yderligere støtte kan findes gennem tilsætningsstoffer, der er indarbejdet i foderet. Alltech's Bio-Mos^®kan støtte kalvens tarmfunktion i perioder med øget stress og sikre, at det unge dyr får mest muligt ud af foderet.  

Alle de gode råd fra denne blog er samlet på en plakat. Plakaten er et oplagt værktøj at have hængt op i stalden, da den giver en masse gode råd til at bekæmpe varmestress. 
Du kan downloade plakaten her.
 

[LEXINGTON, Kentucky] Alltech a publié aujourd’hui ses Perspectives agroalimentaires Alltech 2023 (Agri-Food Outlook 2023), mettant en évidence les données de l’enquête mondiale sur la production d’aliments pour animaux. Malgré d’importants défis macroéconomiques qui ont affecté l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement, la production mondiale d’aliments pour animaux est restée stable en 2022 à 1,266 milliard de tonnes métriques (BMT) en 2022, soit une baisse de moins d’un demi pour cent (0,42%) par rapport aux estimations de 2021. L’enquête annuelle, qui en est à sa 12e année, comprend des données provenant de 142 pays et de plus de 28 000 usines d’aliments pour animaux.

L’Europe a été la plus touchée par les conséquences, y compris les défis importants en matière de maladies, les conditions météorologiques extrêmes et les impacts de l’invasion de l’Ukraine. La pandémie mondiale de COVID-19 a entraîné des répercussions majeures sur le secteur agroalimentaire, contribuant aux défis de la chaîne d’approvisionnement et accélérant l’adoption de nouvelles technologies et de pratiques de durabilité environnementale.

Les 10 principaux pays producteurs d’aliments pour animaux au cours de la dernière année étaient la Chine (260,739  millions de tonnes métriques ou MMT), les États-Unis (240,403 MMT), le Brésil (81,948 MMT),  l’Inde (43,360 MMT), le Mexique (40,138 MMT), la Russie (34,147 MMT), l’Espagne (31,234 MMT), le Vietnam (26,720 MMT), l’Argentine (25,736  MMT) et l’Allemagne (24,396 MMT). Ensemble, les 10 principaux pays ont produit 64 % de la production mondiale d’aliments pour animaux, et la moitié de la consommation mondiale d’aliments pour animaux est concentrée dans quatre pays : la Chine, les États-Unis, le Brésil et l’Inde. Le Vietnam a connu une forte reprise en termes de tonnage fourrager en 2022, entrant dans le top 10 devant l’Argentine et l’Allemagne et évinçant la Turquie, qui a signalé une réduction du tonnage fourrager. La Russie a dépassé l’Espagne, où il y a eu une réduction significative de la production d’aliments pour animaux.

Principales observations de l’enquête :

• La production d’aliments pour animaux a augmenté dans plusieurs régions, dont l’Amérique latine (1,6%), l’Amérique du Nord (0,88%) et l’Océanie (0,32%), tandis que l’Europe a diminué de 4,67%, l’Afrique de 3,86% et la région Asie-Pacifique a également chuté de 0,51%.
• À l’échelle mondiale, des augmentations du tonnage d’aliments ont été signalées dans les secteurs de l’aquaculture, des poulets de chair, des pondeuses et des  aliments pour animaux de compagnie, tandis que des baisses ont été signalées dans les secteurs du bovin viande, des vaches laitières et des porcs.
• Bien qu’elle ait connu une faible réduction de la production d’aliments pour animaux, la Chine reste le plus grand pays producteur d’aliments pour animaux au monde, suivie des États-Unis et du Brésil.

Résultats notables pour les espèces :

• Le secteur de la volaille a connu une augmentation de la production d’aliments pour poules pondeuses et pour poulets de chair.  
  • La grippe aviaire, d’autres maladies et les coûts élevés des matières premières ont affecté le secteur des pondeuses sur de nombreux marchés, en particulier en Asie,  en Europe et en Afrique. D’autre part, la croissance du secteur a été stimulée en raison de défis plus importants dans d’autres secteurs qui ont entraîné une augmentation de la demande d’œufs. Dans l’ensemble, la production d’aliments pour animaux du secteur des pondeuses a augmenté de 0,31 %.
     
  • Alors que le tonnage global dans le secteur des poulets de chair a augmenté de 1,27%, il y avait des différences significatives d’un pays à l’autre. Dans l’ensemble, la croissance de la production d’aliments pour animaux dans le secteur des poulets de chair a été signalée principalement au Moyen-Orient, en Amérique du Nord et en Amérique latine.

• La production d’aliments pour porcs a diminué de près de 3 % à l’échelle mondiale en 2022. La PPA et les prix élevés des aliments pour animaux ont fait baisser la production porcine dans de nombreux pays. Toutefois, au Vietnam, en Chine, en Afrique du Sud, au Brésil et au Mexique, de meilleurs prix du porc et d’autres conditions du marché ont entraîné une croissance du secteur.

• Le tonnage d’aliments pour vaches laitières a diminué de 1,32 %, principalement en raison du coût élevé des aliments pour animaux combiné à la faiblesse des prix du lait, ce qui a incité les agriculteurs à réduire leur nombre de vaches et/ou à compter davantage sur des sources d’aliments non commerciales. Parmi les exceptions, citons l’Irlande, où la sécheresse a amené les agriculteurs à dépendre davantage des aliments commerciaux, et la Nouvelle-Zélande, où les prix du lait étaient plus élevés.

• La production d’aliments pour les bovins de boucherie a légèrement diminué de 0,34 % à l’échelle mondiale. La tendance à la baisse s’est poursuivie en Europe, mais des augmentations ont été observées dans presque toutes les autres régions. En Australie, la réduction du tonnage fourrager était le résultat de l’abondance de l’herbe et non d’un changement dans la demande de bœuf. 

• Le secteur de l’aquaculture a connu une croissance mondiale totale de la production d’aliments pour animaux de 2,7 %. Les 5 principaux pays d’alimentation aquacole sont la Chine, le Vietnam, l’Inde, la Norvège et l’Indonésie. Des augmentations significatives ont été signalées en Chine, au Brésil, en Équateur, aux Philippines et aux États-Unis La production d’aliments pour animaux aquacoles a été l’un des rares secteurs à connaître une croissance en Europe.
   
• La production d’aliments pour animaux de compagnie a connu la plus forte augmentation parmi les secteurs, avec une augmentation moyenne mondiale de 7,25% de la production. Cette augmentation significative est en grande partie due à l’augmentation du nombre de propriétaires d’animaux de compagnie dans le contexte de la pandémie de COVID-19. L’Amérique du Nord et l’Europe continuent d’être les principales régions productrices d’aliments pour animaux de compagnie.

 Résultats régionaux notables :

• L’Amérique du Nord a enregistré une augmentation de 0,88 % (2,272 MMT) et les États-Unis sont restés le deuxième plus grand pays producteur d’aliments pour animaux au monde, derrière la Chine. Une croissance a été signalée dans les secteurs des poulets de chair, du bovin de boucherie et des aliments pour animaux de compagnie.

• L’Amérique latine a connu une croissance de 1,6 % (3,066 MMT) et le Brésil est resté le leader de la production d’aliments pour la région et s’est classé au troisième rang mondial. La majeure partie de la croissance a été signalée par le Mexique,  le Brésil et le Chili.

• L’Europe a connu la plus forte baisse de la production d’aliments  de 4,67% (-12,882 MMT) de sa production d’aliments pour animaux  en raison de problèmes tels que la guerre en Ukraine et la propagation de maladies animales, telles que  la peste porcine africaine (PPA) et la grippe aviaire (AI).

• L’Asie-Pacifique est demeurée stable, les baisses enregistrées en Chine, au Pakistan,  en Thaïlande et en  Malaisie ayant été contrebalancées par des hausses au Vietnam, aux Philippines, en Mongolie et en Corée du Sud. La région abrite plusieurs des 10 principaux pays producteurs d’aliments pour animaux, dont la Chine, l’Inde  et le Vietnam.

• L’Afrique a connu une baisse de 3,86 % du tonnage fourrager (-1,718 MMT), principalement en raison des réductions signalées en Égypte, au Maroc,  au Kenya et au Nigéria. L’Afrique du Sud,  en revanche, a connu une augmentation de plus de 2% et la Namibie a également signalé une augmentation du tonnage fourrager en 2022.

• La région du Moyen-Orient est en hausse significative de 24,7% (6,301 MMT), grâce à des rapports plus précis et aux efforts déployés par le gouvernement saoudien pour augmenter la production de poulets de chair dans le cadre de son plan Vision 2030.

• L’Océanie est restée stable, avec une légère réduction signalée par l’Australie qui a été compensée par une légère augmentation signalée par la Nouvelle-Zélande.

Alltech collabore avec des usines d’aliments pour animaux et des entités industrielles et gouvernementales du monde entier pour compiler des données et des informations afin de fournir une évaluation de la production d’aliments pour animaux chaque année. La production et les prix des aliments composés ont été collectés par l’équipe des ventes mondiales d’Alltech et en partenariat avec les associations locales d’aliments pour animaux au cours du dernier trimestre de 2022. Ces chiffres sont des estimations et sont destinés à servir de source d’information pour les intervenants de l’industrie.

Pour accéder à plus de données et d’informations tirées des Perspectives agroalimentaires Alltech 2023, y compris une carte mondiale interactive, visitez alltech.com/agri-food-outlook.

Pesquisa Perspectivas do Setor Agroalimentar da Alltech para 2023 compartilha dados globais de produção de ração e tendências para o setor

12ª pesquisa global anual de rações aponta estabilidade na produção mundial de ração, com crescimento mais significativo para animais de estimação e moderação para bovinos

[LEXINGTON, Ky.] – A pesquisa Perspectivas do Setor Agroalimentar da Alltech para 2023 foi divulgada nesta quarta-feira (25), destacando os dados da pesquisa global de produção de ração. Apesar dos desafios macroeconômicos significativos que afetaram toda a cadeia de suprimentos, a produção global de ração permaneceu estável em 2022, com 1,266 bilhão de toneladas métricas, uma queda de 0,42% em relação às estimativas de 2021. A pesquisa anual, agora em seu 12º ano, inclui dados de 142 países e mais de 28.000 fábricas de ração.

A Europa sentiu o peso de vários fatores, como desafios significativos de doenças, clima severo e os reflexos da invasão da Ucrânia. A pandemia global de COVID-19 teve grandes impactos no setor agroalimentar, contribuindo para os desafios da cadeia de suprimentos e acelerando a adoção de novas tecnologias e práticas de sustentabilidade ambiental.  

Os dez principais países produtores de ração no ano passado foram China (260,739 milhões de toneladas métricas), EUA (240,403 MMT), Brasil (81,948 MMT), Índia (43,360 MMT), México (40,138 MMT), Rússia (34,147 MMT), Espanha (31,234 MMT), Vietnã (26,720 MMT), Argentina (25,736 MMT) e Alemanha (24,396 MMT). Juntos, os 10 principais países produziram 64% da produção mundial de ração, e metade da produção global de ração do mundo está concentrada em quatro países: China, EUA, Brasil e Índia. O Vietnã experimentou uma grande recuperação em termos de sua produção de ração em 2022, entrando no top 10 à frente da Argentina e da Alemanha e eliminando a Turquia, que relatou tonelagem reduzida de ração. A Rússia ultrapassou a Espanha, onde houve uma redução significativa na produção de ração.

Observações-chave da pesquisa: 

• A produção de ração aumentou em várias regiões, incluindo América Latina (1,6%), América do Norte (0,88%) e Oceania (0,32%), enquanto a Europa diminuiu 4,67%, a África recuou 3,86% e a região Ásia-Pacífico caiu 0,51%.
• Globalmente, foram relatados aumentos na tonelagem de ração nos setores de aquicultura, aves de corte, aves de postura e alimentos para animais de estimação, enquanto diminuições foram relatadas nos setores de bovinos de corte, bovinos de leite e suínos.
• Embora tenha experimentado uma redução estreita na produção de ração, a China continua a ser o maior país produtor de ração do mundo, seguido pelos Estados Unidos e pelo Brasil.

Resultados notáveis das espécies:

• O setor avícola experimentou aumentos tanto na produção de aves de postura quanto na de ração para aves de corte. 
  • A gripe aviária, outras doenças e os elevados custos das matérias-primas afetaram o setor de aves de postura em muitos mercados, especialmente na Ásia, Europa e África. Por outro lado, o crescimento do setor foi impulsionado devido a maiores desafios em outros setores que levaram ao aumento da demanda por ovos. No geral, a produção de ração do setor de aves de postura aumentou 0,31%.
  • Embora a tonelagem global no setor de aves de corte tenha aumentado 1,27%, verificaram-se diferenças significativas entre os países. No geral, o crescimento da produção de ração no setor de aves de corte foi relatado principalmente no Oriente Médio, América do Norte e América Latina.
• A produção de ração suína caiu globalmente em 2022 em quase 3%. A peste suína africana e os altos preços dos alimentos para animais deprimiram a produção de suínos em muitos países. No entanto, no Vietnã, China, África do Sul, Brasil e México, melhores preços da carne suína e outras condições de mercado levaram ao crescimento do setor.
• A tonelagem de ração para bovinos de leite diminuiu 1,32%, principalmente devido ao alto custo da ração combinado com os baixos preços do leite, o que fez com que os produtores reduzissem seu número de vacas e/ou dependessem mais de fontes de ração não comerciais. Algumas exceções incluíram a Irlanda, onde a seca fez com que os agricultores dependessem mais de rações comerciais, e a Nova Zelândia, onde os preços do leite eram mais altos.
• A produção de ração para bovinos de corte diminuiu ligeiramente em 0,34% globalmente. A tendência decrescente continuou na Europa, mas registraram-se aumentos em quase todas as outras regiões. Na Austrália, a redução na tonelagem de ração foi resultado da abundância de pasto e não um reflexo de quaisquer mudanças na demanda por carne bovina. 
• O setor de aquicultura experimentou um crescimento total da produção global de rações de 2,7%. Os 5 principais países de alimentação para aquicultura são China, Vietnã, Índia, Noruega e Indonésia. Aumentos significativos foram relatados na China, Brasil, Equador, Filipinas e EUA A produção de ração para aquicultura foi um dos poucos setores que viram crescimento na Europa.
• A produção de ração para animais de estimação teve o maior aumento entre os setores, com alta média global de 7,25% na produção. Este incremento significativo deve-se, em grande parte, ao aumento da posse de animais de estimação em meio à pandemia de COVID-19. A América do Norte e a Europa continuam a ser as principais regiões produtoras de ração para animais de estimação.

Resultados regionais notáveis:

• A América do Norte registrou um aumento de 0,88% (2,272 MMT) e os EUA permaneceram o segundo maior país produtor de ração do mundo, atrás da China. O crescimento foi relatado nos setores de aves de corte, bovinos de corte e alimentos para animais de estimação.
• A América Latina experimentou um crescimento de 1,6% (3,006 MMT), e o Brasil permaneceu líder na produção de ração para a região e ficou em terceiro lugar globalmente. A maior parte do aumento foi relatada pelo México, Brasil e Chile.
• A Europa viu a maior queda na produção de ração, de 4,67% (-12,882 MMT), devido a questões que incluem a invasão na Ucrânia e a disseminação de doenças animais, como a peste suína africana e a Gripe Aviária.
• A Ásia-Pacífico permaneceu estável, já que as diminuições relatadas na China, Paquistão, Tailândia e Malásia foram compensadas por aumentos no Vietnã, Filipinas, Mongólia e Coreia do Sul. A região inclui vários dos 10 principais países produtores de ração, incluindo China, Índia e Vietnã.
• A África experimentou uma diminuição de 3,86% na tonelagem de ração (-1,718 MMT), principalmente por causa das reduções relatadas no Egito, Marrocos, Quênia e Nigéria. A África do Sul, por outro lado, viu um aumento de mais de 2%, e a Namíbia também relatou maior tonelagem de ração em 2022.
• A região do Oriente Médio aumentou significativamente em 24,7% (6,301 MMT), como resultado de relatórios mais precisos e esforços do governo da Arábia Saudita para ampliar a produção de frangos de corte como parte de seu plano Visão 2030.
• A Oceania ficou estável, com uma pequena redução relatada pela Austrália que foi compensada por um ligeiro aumento relatado pela Nova Zelândia.

A Alltech trabalha em conjunto com fábricas de ração, entidades industriais e governamentais ao redor do mundo para compilar dados e insights para fornecer uma avaliação da produção de ração a cada ano. A produção e os preços da ração foram coletados pela equipe global de vendas da Alltech em parceria com associações locais do setor no último trimestre de 2022. Esses números são estimativas e destinam-se a servir como um recurso de informação para as partes interessadas do setor.

Para acessar mais dados e insights da pesquisa Perspectivas do Setor Agroalimentar da Alltech para 2023, incluindo um mapa global interativo, visite alltech.com/agri-food-outlook.

Tıklayınız!